
"Le football français se doit d'être solidaire. Les grands clubs ont tout intérêt à cela. Après, qu'il y ait des forces qui se constituent pour améliorer les choses..."
"J'ai vu qu'ils voulaient améliorer le calendrier, ça c'est une évidence. Mais si c'est pour dire : on ne donne rien à la L2, par exemple, là évidemment, je ne suis pas d'accord", a souligné l'ancien coach de Nice.
"Si demain, on donne moins de moyens à d'autres clubs, ces joueurs-là vont peut-être partir en Suisse ou en Belgique, où en D2 ailleurs, là où il y aura plus d'argent. Et après, il faudra aller les chercher à l'étranger", a-t-il mis en garde lors d'un point presse retranscrit par France Football.