
"La première division est coupée en deux. Les clubs moyens réclament un peu plus d'équilibre financier, on est de un à quatre dans la distribution (financière). C'est une affaire d'hommes. Ce n'est pas bien, mais cela arrive souvent, des bagarres comme celles-là. C'est plus une affaire d'hommes qu'une affaire d'État. La Ligue doit être costaude, doit régler ses affaires", a-t-il déclaré. Pour rappel, c'est son gendre, Bertrand Desplat, qui a repris la présidence de Guingamp et mène la fronde des "petits" clubs.
Les présidents des "gros" clubs auraient quitté la salle, ce matin, car le syndicat des "petits" clubs ne s'apprêtaient pas à réélire Jean-Michel Aulas.