
"Quand je suis arrivé à Paris, j'ai essayé de parler français et la réponse, avec sarcasme, c'est que je ne parlais pas bien. A Londres, je parle un anglais très basique et tout le monde me sourit et me remercie parce que j'essaye", a-t-il confié lors d'un entretien accordé au Mundo. Et d'ajouter : "Je sens que je dois gagner pour construire et non pour survivre."
La pression n'est visiblement pas la même à Arsenal.