Trois investisseurs auraient fait part de leur intérêt, suite à l’annonce d’une possible entrée au capital du PSG. Deux d’entre eux seraient basés aux USA, tandis que le troisième serait européen.
Selon L’Equipe, QSI a récemment ouvert la porte à une vente d’un petit pourcentage du PSG. Le propriétaire qatari pourrait accueillir favorablement l’arrivée d’un actionnaire minoritaire. Entre 10 et 15 % des parts du club pourraient être cédées, sachant que la totalité serait estimée à plus de 4 milliards d’euros.
Les investisseurs seraient prêts à racheter entre 7,5 et 15 % des parts
Selon les renseignements recueillis par Bloomberg, trois investisseurs ont déjà fait part de leur intérêt pour la possibilité d’intégrer le capital parisien. Deux seraient américains, tandis que le dernier serait européen. Ils seraient prêts à racheter entre 7,5 et 15 % des parts du PSG. Leurs noms n’ont pas été communiqués et l’opération devrait prendre du temps (plusieurs mois). Elle pourrait permettre aux dirigeants parisiens de faire entrer de l’argent de façon à renflouer les comptes.
🔴🔵 Le #PSG valorisé à plus de 4 milliards d’euros par QSI, qui discute avec plusieurs investisseurs. Jusqu’à 15% des parts pourraient être cédés mais la conclusion d’un accord peut « prendre des mois », a indiqué Nasser Al-Khelaïfi. https://t.co/JhTwzVOUBJ
— CulturePSG (@CulturePSG) November 28, 2022
De nombreuses rumeurs faisaient état d’un possible retrait de QSI, après la Coupe du monde 2022. Cette éventualité a de nouveau été démentie par le président parisien, Nasser Al-Khelaïfi, ces dernières heures. Le président a assuré que le Qatar n’en était qu’à ses débuts avec le club parisien. Le dirigeant a en revanche révélé que le PSG allait entrer dans une deuxième phase, sans en préciser le contenu.
NAK s’est également exprimé sur le possible déménagement du PSG du Parc des Princes. Les Qataris ne parviennent en effet pas à trouver un accord avec le Conseil de Paris, en vue de racheter l’enceinte située Porte Saint-Cloud. Deux solutions seraient envisagées, en cas de départ : la construction d’un nouveau stade à Poissy ou à l’hippodrome de Saint-Cloud, ou une délocalisation au Stade de France, dont la concession se termine en 2025.