Christophe Galtier était en conférence de presse ce vendredi à la veille du déplacement de son équipe sur la pelouse de Strasbourg lors de la 37e journée de Ligue 1. 

Depuis quelques semaines, les rumeurs se multiplient autour de l'avenir de Christophe Galtier. Sous contrat jusqu'en juin 2024 dans la capitale, le coach parisien pourrait être licencié à l'issue de la saison actuelle. Après des premiers mois séduisants, le PSG s'est complètement écroulé en 2023. La trêve liée au Mondial 2022 au Qatar a clairement marqué une rupture. Les défaites ne sont ensuite enchaînées (6 revers en Ligue 1 depuis le mois de janvier) et l'élimination en Ligue des Champions dès les 8es de finale contre le Bayern Munich a mis un énorme coup d'arrêt à la saison parisienne.

Galtier garde le cap

Alors que plusieurs noms circulent pour sa succession (Xabi Alonso, José Mourinho, Thiago Motta…), Galtier maintient qu'il reste serein face à cette situation. “Je suis en relation permanente avec Luis Campos, tous les jours, quand il est là et il est souvent là. Sinon, on communique énormément par téléphone. Je vois très souvent mon président avant ou après les matchs. On n’a pas parlé de la saison prochaine. Sur le fait qu’il y ait des noms qui circulent, ça fait partie de mon métier, du football, c’est comme ça. Ça ne me perturbe pas du tout. Il y a ce que vous écrivez et il y a ce que moi je vis au quotidien”, a lâché le coach parisien devant les médias.

“Vous n'en savez rien”

Depuis quelques semaines, Galtier adopte la même stratégie de communication lorsque la question de son avenir revient sur la table mais sa réponse a été plus tranchante ce vendredi face aux médias. “J’ai lu qu’on m’avait interdit de parler de la saison d’après, c’était une déduction par rapport à une communication. J’ai lu ça sur notre quotidien sportif international qui détient la vérité (L’Équipe). Nous travaillons sur la saison prochaine mais heureusement que nous travaillons sur la saison prochaine. Ce qui va se passer à la fin de la saison, vous n’en savez rien”, a-t-il lâché.