Mercato - Campos prêt à jouer un mauvais tour à l’OM ?

En ce début de mercato, l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain connaissent les mêmes mésaventures concernant le poste d’entraîneur.

Qui de l’OM ou de PSG parviendra à trouver un coach en premier ? Côté Olympien, on a essuyé le refus de Marcelo Gallardo, puis de Paulo Fonseca, qui n’a pas souhaité aller au bras de fer avec le LOSC. Dans la capitale, les nouvelles tentatives de drague auprès de Zinédine Zidane n’ont pas porté leurs fruits alors que Julian Nagelsmann, annoncé proche de s’engager à Paris, a finalement décliné la proposition.

Les dirigeants parisiens se sont tournés vers Luis Enrique, qui semble intéressé par le projet du récent champion de France, même si son agente a calmé le jeu ce mardi, expliquant que le technicien espagnol était actuellement en vacances et qu’aucune négociation n’était en cours. L’OM aussi s’est tourné vers un entraîneur espagnol puisque c’est Marcelino qui devrait prendre la succession d’Igor Tudor sur la Canebière.

Le Celta Vigo également sur la piste de Marcelino

Cependant, les Phocéens ne sont pas seuls sur le dossier puisque Marca nous apprend que le manager de 57 ans a également quelques touches en Liga. Il serait notamment sur les tablettes du Celta Vigo et de… Luis Campos, toujours conseiller sportif chez le récent 13ème de Liga, nous apprend Marca.

Le Portugais, qui vient d’être confirmé à son poste malgré ses fonctions au PSG, souhaite lui offrir le banc de Vigo après avoir limogé Carlos Carvalhal. La presse espagnole ne précise pas si Marcelino s’est montré intéressé par cette proposition. Une chose est sûre, l’ancien de Bilbao est bel et bien en discussion avec l’OM et dispose d’une relation forte avec Pablo Longoria, ce qui devrait jouer en faveur des Ciel et Blanc.

Marcelino García Toral, de son nom complet, a successivement entraîné le FC Séville, Villarreal, Valence et l’Athletic Bilbao. Depuis 2019, il a remporté trois Coupes d’Espagne et une Supercoupe d’Espagne.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.