Mercato - PSG : première très grosse offre pour Osimhen !

Désireux de renforcer son secteur offensif, le Paris Saint-Germain vient de passer à l'action pour Victor Osimhen, identifié comme l'une des cibles prioritaires du mercato estival dans la capitale.

Alors qu'Harry Kane se rapproche à grands pas de la Bavière, le PSG voit s'éloigner un renfort potentiel pour la pointe de son attaque. L'Anglais figurait sur la short list de l'état-major francilien, au même titre que Randal Kolo Muani et Victor Osimhen à ce poste. Mais Doha ne se laisse pas abattre pour autant puisque les dirigeants du champion de France en titre sont passés à l'action pour le meilleur buteur de Serie A.

En effet, la Gazetta dello Sport annonce que le PSG a transmis une offre de 100 millions à Aurelio De Laurentiis pour le buteur nigérian. Pour rappel, le président napolitain avait déclaré au sujet de son joueur : “Vendre Osimhen cet été ? Non, jamais !” il y a quelques semaines pour l'émission Cinque Minuti. Le producteur de cinéma a-t-il revu ses intentions ?

Naples repousse l'offre de 100 millions d'euros

Apparemment, non ! Le média italien affirme que cette proposition a été repoussée par les décideurs du Napoli, précisant que le champion d'Italie souhaitait conserver l'ancien joueur du LOSC à moins d'une offre faramineuse. Toujours selon la même source, un montant de 180 millions d'euros serait susceptible de faire craquer De Laurentiis. Le PSG est-il prêt à monter aussi haut ? Rien n'est moins sûr.

De son côté, rien ne dit qu'Osimhen souhaite effectuer son retour en Ligue 1, d'autant que la Gazetta dello Sport avait expliqué, ce lundi, que le joueur aux 31 buts en 39 matchs toutes compétitions confondues donnait sa préférence à la Premier League, où Liverpool lui fait les yeux doux. Il se dit que les Reds seraient prêts à miser pas moins de 150 millions d'euros pour s'attacher les services du Nigérian durant l'intersaison. Ce dossier ne s'annonce en tout cas pas simple pour le PSG.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.