Mercato - L’OM remet les choses au clair sur une rumeur mercato

Bien que le mercato ait fermé ses portes depuis deux semaines, l'Olympique de Marseille continue de faire la Une dans la rubrique des transferts.

Cet été encore, les dirigeants marseillais se sont montrés particulièrement actifs durant la période estivale. Le changement d'entraîneur a conduit Pablo Longoria et Javier Ribalta à ajuster l'effectif dans tous les secteurs de jeu en raison du passage en 4-4-2 avec Marcelino. Le secteur offensif a notamment été beaucoup impacté puisque Pierre-Emerick Aubameyang, Ismaïla Sarr, Joaquin Correa et Iliman Ndiaye ont garni la ligne d'attaque olympienne.

Ce samedi, on apprenait également que les Phocéens étaient également sur la piste de Mariano Diaz, selon les propres révélations du joueur : “Il y avait Marseille aussi. Mais Séville est un club avec lequel j'ai toujours voulu jouer. Pour moi, l'important n'est pas l'argent, mais d'autres choses. Séville est un grand club“, a expliqué l'ancien attaquant de l'OL a la presse andalouse.

L'OM dément fermement l'information

Cependant, nos confrères de RMC, qui sont allés à la pêche aux informations du côté de la Commanderie, n'ont pas eu exactement le même son de cloche. En effet, le club olympien a fermement démenti cette information auprès du média, expliquant notamment qu'avec la présence de Pierre-Emerick Aubameyang et Vitinha, l'OM n'avait pas poursuivi ses recherches pour recruter un attaquant de pointe.

Très peu utilisé la saison dernière par Carlo Ancelotti (une seule titularisation), le joueur de 30 ans, en fin de contrat au 1er juillet dernier, a décidé de s'engager avec le FC Séville. En six saisons sous la tunique du Real Madrid, Mariano Diaz n'est jamais parvenu à dépasser les cinq réalisations et va donc tenter d'obtenir un rôle plus important avec le FC Séville, à la peine en ce début de campagne puisque les Andalous ont tout simplement perdu leurs trois premières rencontres et pointent à la dernière place de Liga.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.