Mercato - Gros démenti sur Tudor

Alors que des rumeurs l'envoyaient dans différents clubs ces dernières semaines, Igor Tudor est toujours sur le marché, sans doute dans l'attente d'un projet attractif.

Igor Tudor avait besoin de souffler après une année éprouvante du côté de l'Olympique de Marseille. C'est justement la raison qu'il avait évoquée au moment d'annoncer son départ au mois de juin : “J'ai pris la décision de partir pour des raisons privées et professionnelles. Travailler un an à l'OM est comme travailler deux ou trois ans dans un autre club. J'ai tout donné ici, il y a eu beaucoup de nuits blanches“, avait-il confié devant la presse.

Son nom n'a pas beaucoup circulé durant le mercato estival, mais les rumeurs se sont intensifiées au cours des dernières semaines, notamment du côté de Naples. En effet, la presse italienne expliquait qu'Igor Tudor faisait partie des solutions envisagées pour succéder à Rudi Garcia, sur la sellette après un début de saison poussif. Plus récemment encore, l'ex-entraîneur de l'OM et de l'Hellas Vérone était annoncé tout proche du Besiktas.

Igor Tudor ne rejoindra pas le Besiktas

Son ancien adjoint Hari Vukas ayant été engagé par le club turc, on imaginait naturellement qu'Igor Tudor allait débarquer dans la foulée. Surtout après avoir vu une photo du Croate sortant de l'aéroport d'Istanbul. Sauf que le toujours très bien informé Fabrizio Romano a dementi cette information sur son compte Twitter.

En effet, l'insider italien explique que : “Besiktas n'a jamais été en discussion avec Igor Tudor pour que ce dernier devienne le coach“, ajoutant également que cela “n'a jamais été une piste envisagée malgré les rumeurs” et que “Tudor était en Turquie pour des raisons différentes“.

Il faudra donc patienter encore un peu avant de voir Igor Tudor retrouver un banc. Après le refus d'Antonio Conte de signer à Naples, peut-être que le président De Laurentiis va passer à l'action pour tenter de convaincre l'ancien défenseur central de la Juventus.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.