OM : les 2 joueurs qui ont déçu De Zerbi révélés

Le mercato continue de battre son plein dans la cité phocéenne. Ce mardi, les dirigeants de l'Olympique de Marseille ont officialisé la signature d'Elye Wahi en provenance du RC Lens. Désormais, c'est au rayon des départs que le club olympien pourrait s'activer.

À quelques jours de la reprise du championnat, les clubs entrent dans la dernière ligne droite du mercato. Si globalement, les formations de Ligue 1 se sont montrées très sages sur le marché, l'OM n'a pas suivi le mouvement. Pablo Longoria et Medhi Benatia ont accueilli un neuvième renfort en la personne d'Elye Wahi, mais peinent cependant à exfiltrer les lofteurs. “En ce qui concerne les mouvements de départ, nous rencontrons encore certains retards dus à des circonstances particulières. Chaque situation étant différente, nous aurions aimé gérer les sorties avec un peu plus de célérité“, déclarait le président olympien ces derniers jours.

En plus des joueurs placardisés, d'autres éléments de l'effectif pourraient également quitter la Provence avant le 1er septembre. Deux joueurs n'auraient notamment pas vraiment convaincu Roberto De Zerbi : Amine Harit et Bamo Meïté.

Deux nouveaux joueurs sur la liste des transferts

Selon les informations recueillies par La Provence, le défenseur, que le club jugeait intransférable, serait désormais un candidat sérieux à un départ. La raison de ce revirement de situation ? L'entraîneur marseillais serait “resté sur sa faim” avec l'Ivoirien lors des entraînements et des matchs amicaux, “pointant les lacunes” de l'ancien lorientais. Bamo Meïté aurait notamment du mal à assimiler les principes de jeu de l'ancien coach de Brighton, de son propre aveu. En cas de départ du défenseur, l'OM est prêt à dégainer pour Kiliann Sildillia.

La donne est sensiblement identique pour Amine Harit, dont le profil ne matche pas vraiment avec les attentes de De Zerbi. L'état-major marseillais tente donc de lui trouver une porte de sortie avant la clôture du marché des transferts.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.