Certains d'entre vous étaient probablement trop jeunes pour suivre la Coupe du Monde 1994. A l'époque, le Brésil comptait dans ses rangs un certain Branco, aujourd'hui âgé de 46 ans, qui occupait le poste de latéral gauche… avec une puissance de frappe foudroyante comparable à celle de Roberto Carlos.
Dans une interview retranscrite sur le site du tabloïd The Sun, l'actuel dirigeant de Fluminense a donné sa recette pour gagner aux hommes de Dunga, un sélectionneur qui était son coéquipier lors du Mondial américain il y a seize ans.
En clair, les joueurs auriverde doivent avoir des relations sexuelles régulièrement et boire quelques verres (pour se donner du courage ?) pendant le Mondial.
“Quel mal y a-t-il là-dedans ? Mon fils Stefano a été conçu pendant la Coupe du Monde 1994 lorsque j'ai eu une journée de repos à San Francisco avec ma femme. La pratique sexuelle est positive car elle permet de soulager les tensions.”
“Nous n'avions pas gagné ce trophée depuis 24 ans et donc cela ne pouvait pas nous faire de mal. On ne devrait pas exclure les femmes pour priver les joueurs de sexe car sinon ils rentrent à quatre heures du matin après avoir été au bordel.”
(…)
“Nous prenions aussi trois ou quatre verres pour nous détendre. Si c'était vraiment un problème, il n'y aurait pas non plus de football en Angleterre et en Allemagne où ils boivent de la bière. Même chose pour l'Italie, la France ou en Argentine avec le vin”, a analysé l'ex-footballeur de la Seleção.
Son livre de conseils est en vente dans toutes les bonnes librairies… : avis aux amateurs.