FFF

Didier Deschamps a communiqué sa liste de joueurs pour les matchs des Bleus programmés contre les Pays-Bas (le 24 mars) et l’Irlande (le 27 mars). Avec quelques surprises. Après sa défaite contre l’Argentine, en finale de la Coupe du monde, l’équipe de France rentre dans un nouveau cycle. Les Bleus vont tenter ces prochains mois de bonifier leur parcours réalisé au Qatar, en s’appuyant sur une nouvelle dynamique. Quatre joueurs emblématiques ont annoncé leur retraite internationale : Steve Mandanda, Hugo Lloris, Raphaël Varane et Karim Benzema. Pour les remplacer, Didier Deschamps a fait appel à de nouveaux éléments. C’est le cas de Brice Samba (Lens), Wesley Fofana (Chelsea) et Khephren Thuram. Pour le reste, le sélectionneur a fait confiance à des habitués de la sélection dont Olivier Giroud (36 ans). À noter l’absence de Mattéo Guendouzi, dont les prestations ont été pointées du doigt, avec l’OM, ces dernières semaines. Le Phocéen a paru moins fringant et moins impliqué, au sein de l’équipe d’Igor Tudor. Les matchs programmés contre les Pays-Bas et l’Irlande comptent pour les éliminatoires de l’Euro 2024. La France figure dans le groupe B, avec Gibraltar, la Grèce, les Pays-Bas et donc l’Irlande. La mission des hommes de Didier Deschamps, qui a rempilé jusqu’en 2026, consiste à obtenir un billet pour la phase finale de la compétition, qui aura lieu en Allemagne. La sélection de l’équipe de France Gardiens : Alphonse Areola (West Ham), Mike Maignan (AC Milan), Brice Samba (RC Lens) Défenseurs : Wesley Fofana (Chelsea), Eduardo Camavinga (Real Madrid), Theo Hernandez

Noël Le Graët est soupçonné d’avoir favorisé ses proches, lors du Mondial au Qatar. L’ex-président de la FFF aurait donné des places allouées par la FIFA à des amis et des membres de sa famille. Après de nombreuses polémiques, Noël Le Graët a démissionné de son poste de président de la FFF, fin février. Le Breton a quitté son poste tout en déclarant n’avoir rien fait de mal. Mais le dirigeant, qui est visé par une enquête pour harcèlement moral ou sexuel, pourrait vite déchanter. Le Monde a divulgué une nouvelle affaire, ce mercredi. Famille, amis… L'ex-président de la FIFA, Noël Le Graët, a fait profiter vingt-huit de ses proches de places en tribunes présidentielle et officielle allouées par la fédération, selon les informations du « Monde ». | ✍️ @remidupre https://t.co/wFp0PXTaTj — Le Monde (@lemondefr) March 15, 2023 Des invités personnels pris en charge par la FIFA Selon les informations obtenues par le quotidien, Le Graët a bénéficié de “quelques faveurs en nature” de la part de la FIFA lors de la dernière Coupe du monde au Qatar. Lors de la finale opposant la France à l’Argentine, l’ancien maire de Guingamp aurait reçu une vingtaine de places supplémentaires en tribune officielle, en plus de celles habituellement distribuées. Elles auraient été accordées par la FIFA, Gianni Infantino, qui est un proche de Le Graët. La FIFA aurait également pris en charge les frais de transport et d’hébergement d’une trentaine d’invités personnels de Le Graët. Ces invités auraient été transportés en car et logés dans trois

Poussé vers la sortie par la Fédération française de football, Noël Le Graët a reçu l’inattendu soutien de Michel Platini. Mêlé à de nombreuses polémiques, Noël Le Graët n’est aujourd’hui plus le président de la Fédération française de football. Critiqué de toutes parts, le dirigeant breton a néanmoins bénéficié d’un appui de taille en la personne de Michel Platini. Interrogé lundi par nos confrères de RMC, l’ancien président de l’UEFA a tenu à défendre le bilan de l’ex-président de Guingamp à la tête de la 3F, marqué notamment par le sacre des Bleus de Didier Deschamps à la Coupe du monde 2018 et une finale perdue lors du Mondial 2022. “Quelqu’un qui a fait du bien au football” “Je n’ai jamais été un grand fan de Noël Le Graët. Mais je pense qu’il restera dans l’histoire du football français comme un très bon président et quelqu’un qui a fait du bien au football. Notamment quand il était à la Ligue, à Guingamp ou à la FFF. C’est un peu parti en banane ces dernières années, mais sinon il a fait des choses remarquables pour le football français. Donc il ne faut pas tout oublier.” Michel Platini s’étonne que les membres du Comité exécutif de la FFF n’aient également pas fait leurs valises. “J’ai été surpris que le Comex reste, parce que ses membres ont été élus sur l’équipe de Noël Le Graët. Je ne comprends pas pourquoi ils ne sont pas partis avec. Ils auraient dû démissionner avec Noël Le Graët.” Le sélectionneur de l’équipe

Ancien président de l’UEFA, Michel Platini a clôt le suspense sur sa possible arrivée à la tête de la Fédération française de football. Sans fonction officielle depuis décembre 2015 et sa suspension de toute activité liée au monde du football, alors qu’il présidait l’UEFA depuis janvier 2007, Michel Platini sort du silence. Dans le cadre d’un entretien accordé à RMC Sport, ce lundi, l’homme de 67 ans a été invité à dire si l’intéressait le poste de président de la Fédération française de football, vacant depuis la mise en retrait de Noël Le Graët et aujourd’hui occupé par l’intérimaire Philippe Diallo. Réclamé par le journaliste Daniel Riolo, l’ancien milieu de terrain de l’équipe de France a répondu sans langue de bois. “Je ne reviendrai pas dans les institutions” “On va clarifier les choses, je me suis préparé. J’ai fait une déclaration au mois de juillet quand j’ai été blanchi de mes affaires en Suisse. J’ai dit que je ne reviendrai plus dans les institutions du football. Point final, je ne reviendrai pas dans les institutions du football. Il me semble que la Fédération française fait partie des instances du football. Donc je ne reviendrai pas dans le football ni à la Fédération française. Mais personne ne viendra me chercher. Personne ne vient vous cherchez, le pouvoir cela se prend ou cela ne se prend pas. Je n’ai aucune volonté de le prendre. J’ai assez donné. J’ai été vice-président de la Fédération française il y a 30 ans, j’ai tout fait. Cela va, cela suffit et c’est

Christophe Dugarry regrette que Noël Le Graët soit resté aussi longtemps à la tête de la FFF. Le dirigeant avait selon lui trop de casseroles pour tenir la fonction de président. De retour aux affaires, Christophe Dugarry a commenté les sujets du moment lors d’un entretien accordé à RMC Sport. Le champion du monde 1998 a notamment évoqué la démission de Noël Le Graët, survenue il y a quelques jours. L’ancien attaquant regrette que ce soit une déclaration sur Zinedine Zidane qui l’ait fait tomber, après de nombreuses positions polémiques sur des thèmes graves comme le racisme, les droits LGBT ou les droits des travailleurs au Qatar. “Ça fait tellement longtemps que ça aurait dû arriver” Après avoir rappelé que cela n’avait rien de personnel, Christophe Dugarry a réagi au départ de Noël Le Graët de la Fédération. L’ancien attaquant regrette que le dirigeant soit resté aussi longtemps à la tête du football français : « Ça fait tellement longtemps que ça aurait dû arriver. Ce qui est choquant, c’est que ce monsieur est accusé de beaucoup de choses qui font qu’il ne pouvait plus représenter le football français, et la seule qui l’a fait tomber, c’est parce qu’il a parlé de Zidane. C’est juste incroyable. Il n’y a qu’en France qu’on voit ça. C’est surréaliste. » L’ancien joueur de Bordeaux regrette que le Comex l’ait soutenu malgré ses casseroles : « Je suis content qu’il soit parti, mais qu’est-ce qu’il a fallu faire pour en arriver là… Et toutes les fédés, c’est la même chose. Le système tel qu’il

Depuis que Noël Le Graët a quitté la présidence de la FFF en démissionnant, le foot français retient son souffle : qui va succéder au Breton de 81 ans ? L’ancien président de l’EA Guingamp, qui va retrouver du travail à la FIFA, laisse la voie libre pour le poste de président de la Fédération Française de Football. En attendant qu’un individu soit élu, c’est Philippe Diallo qui assure l’intérim, jusqu’à cet été. Alors que Noël Le Graët veut attaquer en diffamation la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, qui lui a répondu ce mercredi matin, un journaliste a fait une proposition alléchante. Riolo veut Platini à la FFF… Sur RMC, Daniel Riolo a détaillé la liste des gens potentiellement intéressés pour succéder à Noël Le Graët : “Il va falloir que des anciens joueurs qui tiennent à cette équipe de France, qui tiennent à l’image du football français, se réveillent. J’ai vu Luis (Fernandez) pas mal bouger sur les réseaux, mais il ne va pas falloir qu’il soit seul. Parce qu’on sait qui va y aller. Frédéric Thiriez va se lancer, Michel Moulin va se lancer, Jamel Sandjak va se lancer, et Philippe Diallo va tout faire pour s’accrocher. Je suis désole, mais je ne suis pas pleinement convaincu par toutes ces listes-là.” Selon le journaliste, Michel Platini est le meilleur candidat : “Je sais que le pouvoir politique le veut (Michel Platini, ndlr) et après, ça va dépendre de lui et de sa décision, mais il faut que Michel Platini vienne sauver le football

Prise à partie par Noël Le Graët et l’entourage de l’ancien président de la Fédération française de football, Amélie Oudéa-Castéra a répondu publiquement au dirigeant breton. Le suspense a pris fin mardi. Alors que son contrat courait jusqu’en août 2024, Noël Le Graët a démissionné de son poste de président de la Fédération française de football. Poussé vers la sortie par le comité exécutif à la suite des nombreuses polémiques entourant sa personne, le dirigeant de 81 ans s’est exprimé dans la foulée sur son départ. D’abord par la voix de son avocat, avant que l’ex-président du club de Guingamp ne prenne lui-même la parole. Au cœur des débats entre les différentes parties prenantes, l’ingérence de la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, une position du gouvernement français guère appréciée par le principal concerné, amené désormais à rebondir à la FIFA. “Je ne l’ai jamais accusé de harcèlement” La réponse de la responsable politique n’aura pas tardé. Interviewée ce mercredi par RTL, la femme de 44 ans “trouve affligeant” la réaction de Noël Le Graët à son égard. “Je n’ai jamais insulté personne. Je suis restée polie. Je ne l’ai jamais accusé de harcèlement. C’est la qualification prononcée par le procureur quand il décide d’ouvrir cette enquête. Cette stratégie de défense ne dupe pas grand monde. Je pense que nous avons fait un travail très approfondi et je ne laisserai pas dénigrer le travail qui a été fait.” Plainte de Noël Le Graët contre Amélie Oudéa-Castéra : « Je ne l’ai jamais accusé de harcèlement », affirme la

Noël Le Graët, qui n’est plus le président de la FFF depuis ce mardi et sa démission, a accordé un long entretien à L’Équipe. Par la voie de son avocat, Thierry Marembert, on a appris que Noël Le Graët n’allait pas se laisser faire, après l’annonce de sa démission de son poste de président de la Fédération Française de Football (FFF). Auprès de L’Équipe, le Breton de 81 ans, qui va rallier la FIFA, a confirmé s’en prendre à Amélie Oudéa-Castera, la ministre des Sports : “Ce sont mes avocats qui vont se charger de choisir quelles actions il faut mener. Je conteste le rapport et elle (Amélie Oudéa-Castera) en fait évidemment partie. L’enquête dont j’ai fait l’objet a été menée à charge, en méconnaissance totale de mes droits et du principe du contradictoire. Elle a été juge et partie et ça, ce n’est pas possible, même si elle prétend que non”. L’ancien président de l’EA Guingamp devrait porter plainte contre l’actuelle ministre des Sports, pour diffamation. Selon Noël Le Graët, Emmanuel Macron l’a appelé “longuement”. Ce dernier a dit que le Breton était “un dirigeant formidable”. Et Noël Le Graët d’avouer : “J’aurais souhaité qu’il freine sa ministre. Je ne lui en veux pas”. Zidane ? Le Graët regrette Par contre, le dirigeant français s’en veut pour ses propos contre Zinédine Zidane : “Mes déclarations étaient très maladroites. Je venais de rentrer de Paris et c’était le troisième journaliste qui me posait la question Zidane, j’avais été aimable avec les deux premiers et avec

Journée agitée pour Noël Le Graët : le désormais ancien président de la FFF a démissionné de ses fonctions, tout en semblant assuré de retrouver un travail à la FIFA. Cette décision, la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, l’a salué dans des propos relayés par L’Équipe. Selon elle, le dirigeant breton a pris “la bonne décision pour la FFF et pour lui-même” en officialisant son retrait de sa fonction, qu’il occupait depuis 2011. Ce qui permettra à la Fédération Française de Football de “sortir de la crise”, dixit Amélie Oudéa-Castera. Pourtant, Noël Le Graët ne semble pas disposé à accepter cette décision, motivée par l’audit du ministère des Sports. “Le rapport est vide !” L’avocat du Breton de 81 ans, Thierry Marembert, invité sur France 5, a présenté la position de l’ancien président de l’EA Guingamp, qui plaide… innocent : “Noël Le Graët n’a rien à se reprocher, le rapport est vide ! Les inspecteurs ont été manipulés par la ministre Amélie Oudéa-Castera, elle a menti et nous allons la poursuivre en diffamation. On va demander l’annulation de ce rapport qui a violé tous les principes d’impartialité, du contradictoire, devant les juges administratifs. À quelle date ? Le temps de la rédiger. Mais les décisions sont prises”. D’après l’avocat de Noël Le Graët, ce dernier compte se battre contre la ministre, responsable directe de son éviction. Thierry Marembert affirme que les inspecteurs “n’avaient rien trouvé” contre le Breton, que le rapport était “vide”, mais la “pression” mise par Amélie Oudéa-Castera a forcé les enquêteurs à

Ce mardi, Noël Le Graët a démissionné de la présidence de la Fédération Française de Football (FFF). Victime d’un audit du ministère des Sports, le Breton de 81 ans a rendu son tablier, après 12 ans à la tête de la FFF. Plutôt loué pour son action ce mardi, Noël Le Graët a également été salué par Philippe Diallo, qui va lui succéder par intérim, avant qu’un président soit nommé en remplacement. Malgré ses casseroles, Noël Le Graët étant soupçonné de harcèlement sexuel envers des collaboratrices, le dirigeant va retrouver du travail très rapidement, à la FIFA. La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a de son côté affirmé, dans des propos relayés par L’Équipe, que Noël Le Graët avait pris “la bonne décision pour la FFF et pour lui-même”. Désormais, l’instance va “pouvoir repartir de l’avant” et “sortir de la crise” selon l’ancienne joueuse de tennis. Thiriez ne mâche pas ses mots contre Le Graët L’ancien président de la LFP de 2002 à 2016, Frédéric Thiriez, a été lui offensif à l’égard de Noël Le Graët. Selon l’avocat, le Breton “a été un bon président de la Ligue professionnelle” entre 1991 et 2000, “mais je pense qu’il n’a pas été un bon président de la Fédération parce qu’il ne s’est pas intéressé au cœur du métier de la Fédération qui est le foot amateur”. D’après Frédéric Thiriez, “c’est bien d’engranger de l’argent mais il faut le redistribuer, notamment au foot amateur et ça n’a pas été le cas. Mais ça ne sert à rien de

Philippe Diallo, président de la FFF par intérim, a réagi au départ de Noël Le Graët. Il a souligné le courage dont a fait preuve le Breton en démissionnant. Ces derniers jours, les membres du Comex se sont appliqués à convaincre Noël Le Graët de quitter le poste de président de la FFF. Certains ont estimé qu’il aurait davantage à gagner à partir de lui-même qu’à être conduit devant la commission de discipline. Le discours tenu par Philippe Diallo, ce mardi, va dans ce sens. Le président intérimaire de la Fédération a félicité l’ancien patron de l’EAG pour sa décision. Noël Le Graët a annoncé au Comité exécutif de la Fédération Française de Football sa décision de quitter ses fonctions. https://t.co/RGFUZQ8meR — FFF (@FFF) February 28, 2023 “Cette démission permet à la fédération de poursuivre sa marche en avant” Philippe Diallo s’est exprimé face à la presse : « Quand vous avez été 12 ans à la tête de la FFF, c’est une décision très difficile, poursuit l’ancien vice-président. Je pense qu’il y a beaucoup d’émotions ce matin au sein du comité exécutif. Cette démission permet à la fédération de poursuivre sa marche en avant et certainement à Noël Le Graët de pouvoir mieux se défendre maintenant qu’il est redevenu un homme totalement libre », a-t-il expliqué. Diallo a répondu à la conclusion de l’audit, qui a mis en lumière des dysfonctionnements au sein de la FFF : « Il faut nuancer les dérives, elles sont d’abord individuelles, Noël a eu l’occasion de s’en expliquer,

Fraîchement démissionnaire de son poste de président de la FFF et fortement critiqué en France, Noël Le Graët a été… récompensé par la FIFA. Le Breton va occuper une nouvelle fonction au sein de l’instance, dans les prochains jours. Ce mardi, Noël Le Graët a présenté sa démission du poste de président de la FFF. L’ancien maire de Guingamp, qui était critiqué de toute part, a annoncé avec émotion qu’il quittait la fonction qu’il occupait depuis 2011. Le dirigeant n’a pas résisté à l’audit accablant au sein de l’instance, à l’ouverture d’une enquête judiciaire sur ses comportements, à ses prises de paroles polémiques sur les droits des travailleurs, l’homophobie ou le racisme, ou encore à ses propos sur Zinedine Zidane, en marge de la prolongation de Didier Deschamps. 🚨 Le Graët vient de démissionner… mais a déjà retrouvé un poste à la FIFA. 🎙 Éric Borghini, membre du Comex : "Le président a été nommé à la FIFA par Infantino. Il va diriger le bureau de Paris. Il a été nommé en raison de ses compétences, son expertise et son expérience." — RMC Sport (@RMCsport) February 28, 2023 Mais selon RMC Sport, le natif de Bourbriac ne compte pas prendre sa retraite, bien qu’il soit âgé de 81 ans. Le média révèle en effet que son ami Gianni Infantino,  le président de la FIFA dont il s’est montré proche durant la Coupe du monde au Qatar, lui a trouvé un poste au sein de son instance. Noël Le Graët dirigera bientôt le bureau de la FIFA

La sortie de Noël Le Graët de la présidence de la FFF se précise. Selon les informations de L’Équipe, le président aurait l’intention d’annoncer sa démission lors du Comex prévu le 28 février. Il y a quelques jours encore, plusieurs médias relataient que Noël Le Graët avait lancé des appels pour sauver son poste. Il aurait contacté de nombreux protagonistes du football amateur en se présentant en victime. Cependant, Jamel Sandjak, président de la Ligue Paris Île-de-France, a démissionné, et certains présidents de districts ont demandé à Le Graët de partir. Bien qu’il semblait vouloir se battre pour garder son poste, le dirigeant semble désormais avoir accepté la situation. Ses filles lui ont demandé de se retirer Selon les informations de L’Équipe, Noël Le Graët devrait annoncer sa démission lors du Comex de mardi. Il aurait informé ses proches ainsi que certains cadres fédéraux de sa décision. Bien qu’il pense être victime d’un traitement injuste, il serait conscient que sa sortie est inéluctable. Ses derniers soutiens auraient disparu, et il ne voudrait pas être un frein pour la Fédération. Il souhaiterait partir “proprement” de ses fonctions. Le quotidien précise que son entourage, en particulier ses filles, le somme de se retirer pour ménager sa famille ainsi que ses entreprises. S’il ne démissionnait pas, Noël Le Graët risquerait d’être traduit devant la commission de discipline de la FFF. Cependant, le média ajoute que le natif de Bourbriac pourrait conditionner son départ à celui de certains membres du Comex, qu’il juge déloyaux. D’autres départs ne sont donc

La Fédération française de football a réagi, par le biais d’un communiqué, au retrait de l’équipe de France féminine annoncé par plusieurs joueuses du groupe de Corinne Diacre. Les Bleues vivent une zone de turbulences. Ces dernières heures, plusieurs membres de l’équipe de France féminine ont communiqué leur retrait du groupe, en raison de profonds désaccords avec la sélectionneure Corinne Diacre. La défenseure de l’Olympique Lyonnais, Wendie Renard, a été la première à annoncer son choix de ne plus porter le maillot tricolore. Plus décidée à “cautionner le système actuel bien loin des exigences requises par le plus haut niveau”, la joueuse de 32 ans ne compte plus défendre les couleurs de la France tant que l’ancienne coach de Clermont sera sur le banc. “Aucune individualité n’est au-dessus de l’institution” Dans la foulée, l’attaquante du Paris Saint-Germain Marie-Antoinette Katoto a également annoncé son retrait, “tant que les changements nécessaires ne seront pas appliqués.” Comme Wendie Renard, l’avant-centre parisienne de 24 ans réclame la tête de Corinne Diacre, sur le banc de l’équipe de France depuis 2017 et encore sous contrat jusqu’en août 2024 avec la Fédération française de football. Restée jusque-là muette, cette dernière est enfin sortie de son silence, via un communiqué publié vendredi sur son site internet. “La FFF a pris connaissance des déclarations de Wendie Renard, Kadidiatou Diani et Marie-Antoinette Katoto. Son Comité exécutif, réuni le 28 février, se saisira de la question à cette occasion. La FFF tient à rappeler qu’aucune individualité n’est au-dessus de l’institution Équipe de France.” Si elle ne cite

Noël Le Graët n’entendrait pas quitter son poste de président de la FFF. Le Breton multiplierait les coups de fil et crierait à l’injustice. Le Comex serait prêt à démissionner collectivement pour le contraindre à partir. Le rapport de l’audit de la FFF semble accablant à l’égard du président de la Fédération. Noël Le Graët est par exemple pointé du doigt pour ses prises de position polémique des derniers mois. Le natif de Bourbriac a quelque peu dérapé sur des sujets tels que les droits des travailleurs au Qatar, le racisme dont ont été victimes des joueurs de l’équipe de France, ou encore la défense des droits LGBT. Le dirigeant s’est également vu reprocher son attitude au sein de la fédération, en premier lieu celle vis-à-vis de certaines femmes et sa consommation excessive d’alcool. Mais l’ancien maire de Guingamp n’entend pas faciliter les affaires de ses détracteurs. Le Graët traduit devant la commission de discipline de la FFF ? Selon RMC Sport, Noël Le Graët se montre très actif, en coulisse. Le président de la FFF multiplierait les coups de fil aux dirigeants du monde amateur, en particulier à des présidents de ligue et de district, pour sauver sa place. Son discours reviendrait à se déclarer victime d’une injustice. Et il n’entendrait « pas se laisser dicter la marche à suivre » et compterait « défendre son honneur et se battre jusqu’au bout ». Le comité exécutif ne voudrait pas exaucer son vœu visant à maîtriser sa sortie. S’il ne démissionne pas, le Comex pourrait

Patrick Anton, président du Conseil national d’éthique de la FFF, a confié ce qu’il pensait de Noël Le Graët. Le dirigeant espère que le Breton va quitter ses fonctions sans poser de problème. Les membres du Comex évoqueront le cas de Noël Le Graët à l’occasion de leur rendez-vous du 28 février. En attendant, le Breton reste sous le feu des critiques, ce qui ne parait pas le convaincre de démissionner. Outre l’enquête ouverte pour harcèlement sexuel ou moral, le président de la Fédération est pointé du doigt pour ses interventions souvent polémiques, face aux micros de la presse. Patrick Anton, président du CNE, pense que l’ancien patron de Guingamp a perdu sa lucidité. « Un monsieur qui manifestement a perdu sa lucidité » Lors d’un entretien donné à Europe 1 Sport, Patrick Anton a confié son souhait que le Breton quitte le monde du football sans générer plus de problèmes : « On ne souhaiterait pas le traduire devant une commission de discipline. Ça a été un grand dirigeant et on souhaiterait, même si la porte ou la fenêtre est petite aujourd’hui, qu’il sorte par une porte tant qu’il en est encore temps », a-t-il déclaré. Le président de CNE a lâché le président de la Fédération après ses propos sur Zinedine Zidane : « Au lendemain de l’interview du président Le Graët par Marion Bartoli, c’était de mon point de vue et de notre point de vue au Conseil National de l’Éthique, la goutte qui fait déborder le vase. On ne pouvait plus continuer à accepter que

Un comité exécutif se tiendra bientôt pour trancher sur la situation de Noël Le Graët. La pression est de plus en plus forte sur le Breton, qui paraît tenté par l’idée de s’accrocher à son poste de président. Mercredi, le contenu du rapport d’audit réalisé au sein de la FFF a été communiqué. Sa conclusion accable Noël Le Graët, qui est jugé inapte à exercer la fonction de président, notamment du fait des dérives de comportements « incompatibles avec l’exercice des fonctions et l’exigence d’exemplarité qui lui est attachée ». Et les convocations sont tombées ce jeudi, concernant le prochain Comex. « Pourquoi veut-il nous voir ? Pour tenter de faire pression ? » Selon les informations obtenues par RMC Sport, le prochain comité exécutif de la FFF se tiendra le 28 février, à 10 heures. Il devrait alors être longuement question de l’avenir du président, cible de nombreuses attaques ces dernières semaines. Le site de la radio confirme que le dirigeant n’est pas décidé à démissionner, ce que les propos tenus par son avocate laissaient entendre. Il souhaiterait même rencontrer chaque membre du Comex, pour connaître sa position. 🇫🇷 Le prochain comité exécutif de la FFF aura lieu le 28 février à 10h. Les convocations sont tombées ce jeudi au lendemain de la remise de l’audit incitant Noël Le Graët, président mis en retrait, à la démission.https://t.co/c0HJayxnJb — RMC Sport (@RMCsport) February 16, 2023 Un membre du Comex a confié son exaspération face à la situation. « Je suis dégoûté par l’attitude de Le Graët. Mercredi soir il ne

L’avocate de Noël Le Graët s’est exprimée, suite à la divulgation du rapport d’audit de la FFF. Le président de la Fédération n’a a priori pas l’intention de quitter son poste. Ces dernières semaines, Noël Le Graët avait pris du recul sur son poste de président de la FFF. Ses déclarations sur Zinedine Zidane ont mis le feu aux poudres, après des prises de position douteuses sur les droits des travailleurs au Qatar, la défendre des droits LGBT, ou encore le racisme vécu par certains joueurs de l’équipe de France. Une enquête a été ouverte contre lui par le parquet pour harcèlement moral ou sexuel et la conclusion du rapport d’audit mené au sein de la Fédération est assez claire : ses “dérives de comportement” sont “incompatibles avec l’exercice des fonctions et l’exigence d’exemplarité qui lui est attachée”. 🇫🇷 Florence Bourg, avocate de Noël le Graët, dénonce encore les conditions scandaleuses dans laquelle l’audit sur la Fédération a été menée. Elle balaie l’idée d’une démission immédiate.https://t.co/IIZiAaOS2Z — RMC Sport (@RMCsport) February 16, 2023 « Il n’y a pas de SMS à caractère clairement sexuel » Son avocate a répondu sur les ondes de RTL. Elle a dénoncé les conditions dans lesquelles s’est établi le rapport et annoncé que le Breton ne quitterait pas ses fonctions : « À ce stade, pour le moment, il prendra sa décision tranquillement et certainement pas sous la pression de la ministre, puisqu’il y a une grosse influence politique. Il prendra sa décision tranquillement, il n’y a pas le feu à la Fédération française de

Diligenté par le Ministère des Sports, le rapport sur la direction de la Fédération Française de Football a enfin été publié, ce mercredi. Celui-ci est implacable concernant les manquements graves de Noël Le Graët et de Florence Hardouin. Dans le rapport, il est reproché au dirigeant de la FFF, âgé de 81 ans, une attitude inacceptable avec les femmes de la FFF. Noël Le Graët a notamment envoyé des SMS “ambigus” et “à caractère clairement sexuel” à des collaboratrices “placées sous son autorité”. Le proche du sélectionneur des Bleus Didier Deschamps est également accusé de boire trop d’alcool, de diriger de manière trop centralisée la FFF et d’avoir des prises de positions publiques déplacées. Quant à Florence Hardouin, c’est surtout son management “très autoritaire” qui est pointé du doigt, en plus de son inaction concernant l’ambiance “sexiste et violente” au sein de l’instance. “Le statu quo est impossible” Après la publication du rapport, Amélie Oudéa-Castera, la ministre des Sports, en froid avec le Breton, a pris la parole devant la presse. Selon la politicienne, Noël Le Graët doit partir de la FFF : “Compte tenu des manquements en matière de gouvernance, de ses déclarations publiques et de son comportement gravement inapproprié avec les femmes, de défaillance accentuée par la consommation excessive d’alcool. Je ne peux que faire mienne la conclusion du rapport. Il (Noël Le Graët) ne dispose plus de légitimité pour administrer et représenter le foot français. Dans ces circonstances, le statu quo est impossible. Il est un homme de décision et je sais

Un audit a été mené au sein de la Fédération Française de Football par le ministère des Sports, après des révélations accablantes du magazine So Foot sur les pratiques au sein de l’instance du football français. Le rapport, dévoilé ce mercredi, égratigne sévèrement Noël Le Graët et Florence Hardouin. La seconde, qui est la directrice générale de la FFF, “n’est plus en capacité d’assurer les missions qui sont les siennes”, affirme le rapport des inspecteurs. En cause, le management “très autoritaire” de Florence Hardouin, et de multiples dysfonctionnements internes. Les méthodes de cette dernière, qualifiées de “brutales”, ne lui permettent plus “d’exercer une autorité reconnue”, d’autant que le “comportement” de Florence Hardouin est jugé “erratique”. La directrice générale a amené à une “succession de crises” au sein de la FFF, notamment durant “la Coupe du monde 2018” et “dans la période qui a suivi”. En outre, Florence Hardouin a fait preuve “d’une certaine passivité face à l’ambiance sexiste et violente” au sein du CODIR (Comité de Direction). Enfin, après les nombreuses conclusions et observations du rapport, “la mission considère qu’elle n’est plus en capacité d’assurer les missions qui sont les siennes” à la FFF. Florence Hardouin se dirige donc tout droit vers la sortie. Le Graët épinglé Pour Noël Le Graët, le rapport est tout autant accablant, si ce n’est plus. Il est notamment reproché au Breton de 81 ans des “dérives de comportement”, en particulier avec la gente féminine. Le président de la FFF a envoyé des SMS “ambigus pour certains et à caractère

Proche de la sortie après les multiples accusations pesant contre lui et son administration à la Fédération Française de Football, Noël Le Graët, qui a eu connaissance d’une partie des conclusions de l’audit du Ministère des Sports, devrait passer la main prochainement. Selon ses proches, le Breton de 81 ans ne devrait cela dit pas démissionner de son poste de président. Noël Le Graët, encore dans “le déni”, va s’accrocher, malgré son actuelle mise en retrait après une réunion du Comex. Pendant ce temps, le ministère des Sports et les médias pensent à la suite. Et un candidat semble se dégager. Platini le candidat idéal ? D’après les informations révélées il y a quelques semaines par le journaliste de RMC Daniel Riolo, Michel Platini ne serait pas contre une arrivée à la tête de la Fédération Française de Football. Et la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, a rencontré l’ancien joueur de l’ASSE et de la Juventus, comme elle l’a révélé au Figaro : “C’est un hasard du calendrier. Je ne le rencontre absolument pas parce que j’aurais la volonté ou les velléités de choisir le futur président (de la FFF). Je voudrais faire cela, ce serait la pire des méthodes pour s’y prendre. Michel Platini est une légende du foot, cela fait aussi partie des plaisirs de ma fonction de pouvoir rencontrer des légendes du sport français.” Mais la ministre des Sports n’a pas empêché l’ancien joueur et sélectionneur des Bleus d’avoir cette ambition : “Si (Michel) Platini dit qu’il se sent prêt (à se

Noël Le Graët est revenu de congés. Le président de la FFF a pris une décision concernant la posture qu’il tiendrait, ces prochaines semaines. D’après les informations relayées par RMC Sport, Noël Le Graët est revenu à Paris, après ses vacances dans sa maison secondaire des Antilles. Et il aurait fait de multiples apparitions au siège de la FFF, où personne ne peut l’empêcher d’aller. Le Breton suivrait les affaires courantes de loin, alors que Philippe Diallo occupe son poste par intérim. Le média précise que Noël Le Graët ne souhaite pas entendre parler d’une possible démission. Le président travaillerait à la rédaction de ses observations, après avoir reçu le rapport de la mission d’audit avec les choses qui lui sont reprochées. Le dirigeant dispose jusqu’au 13 février pour transmettre sa réponse. Le Comex veut le persuader de démissionner Parmi ses proches, sa femme et ses filles tenteraient de le convaincre de quitter son poste. Quant au Comex, il souhaiterait profiter de la réunion du 9 février pour « l’amener à démissionner, le convaincre, lui faire comprendre que la page doit se tourner ». A 81 ans, Noël Le Graët est loin de faire l’unanimité. Le président du Conseil National d’Éthique de la FFF, Patrick Anton, ne mâche notamment pas ses mots à son sujet : « Je crois qu’il est encore dans le déni et qu’il ne veut pas reconnaître les fautes qu’il a commises, poursuit Patrick Anton. S’il n’y a plus cette lucidité, ce que je crois, je crains qu’il ne s’accroche encore à son poste

L’audit du ministère des Sports a été révélé, mardi. Il n’épargne personne, et notamment pas Noël Le Graët. Le président de la FFF ne devrait pas reprendre ses fonctions. Le rapport du ministère des Sports est enfin tombé. Après des semaines d’investigations, les enquêteurs ont communiqué leurs résultats au ministère des Sports et aux dirigeants visés, en vue d’une première lecture. Le contenu de l’audit sera totalement divulgué à la mi-février. RMC Sport dévoile des éléments liés à son contenu. Le quotidien confirme que Noël Le Graët n’est pas le seul à se voir reprocher des choses. La fédération dans son ensemble serait pointée du doigt. Florence Hardouin serait mise en cause pour sa passivité et son management, tandis que le Comex est « identifié comme un lieu de constats et de consensus (…) qui ne laisse aucune place aux oppositions ». La lutte contre les violences sexistes et sexuelles est estimée « ni efficace ni efficiente ». Noël Le Graët poussé vers la sortie Selon l’audit, Noël Le Graët ne disposerait « plus de la légitimité nécessaire pour administrer et représenter le football français ». L’actuel président de la FFF est ciblé pour son comportement avec les femmes, mais également pour ses déclarations problématiques et « son comportement contraire à la morale, à l’éthique ou portant atteinte à l’honneur de la FFF (…) et plus généralement du football français ». Le patron de la fédération est aussi mis en cause dans l’exercice de ses fonctions, qui ne laisserait pas place aux débats. L’audit dénonce notamment des licenciements inutiles dans son dossier du plan

Mis en retrait de la présidence de la Fédération Française de Football (FFF), Noël Le Graët voit une autre accusation à son encontre être dévoilée dans l’espace publique. Le Breton avait déclenché une vive polémique après ses déclarations très critiques envers Zinédine Zidane. En plus de cela, la justice a ouvert une enquête pour harcèlement moral ou sexuel sur Noël Le Graët. L’agente Sonia Souid avait par ailleurs accusé l’ancien président de la FFF de mauvais comportement à son égard. Aujourd’hui, à nouveau dans le journal L’Équipe, c’est Aline Riera qui s’exprime. Selon cette dernière, membre du comité exécutif de la FFF, Noël Le Graët a eu des mots répréhensibles envers Corinne Diacre, la sélectionneuse de l’Équipe de France féminine. Celle-ci, en croisant le Breton, lui aurait proposé de lui faire “la bise”. En réponse, Noël Le Graët aurait dit : “Je préférerais que vous me tendiez vos lèvres”. Cela a provoqué “un petit malaise” d’après Aline Riera. Pour Maracineanu, Le Graët doit partir Dans un entretien accordé au Figaro, ce samedi, l’ex-ministre des Sports, Roxana Maracineanu, a enjoint Noël Le Graët à se retirer définitivement de la FFF : “C’est un homme d’un certain âge, qui a eu des problèmes de santé et il serait bon qu’il donne la priorité à sa famille, ses enfants et ses petits-enfants. On est en plein débat sur la réforme des retraites et ce serait bien qu’il s’inscrive pleinement dedans.” Noël Le Graët, de son côté, ne semble pas vouloir de cette solution. Le Breton, accusé par la

Daniel Riolo n’a pas manié la langue de bois au moment de dresser son bilan des années passées par Noël Le Graët à la tête de la Fédération française de football. Mis en retrait par le Comité exécutif de la Fédération française de football, et ce jusqu’à la publication de l’audit par le ministère des Sports, Noël Le Graët ne laissera pas un souvenir impérissable pour Daniel Riolo. Poussé vers la sortie en raison des nombreuses polémiques entourant sa personne, la dernière en date concernant ses déclarations fracassantes sur l’avenir de Zinedine Zidane, le dirigeant breton – peu enclin à présenter sa démission – restera le président des champions du monde 2018 et finalistes du Mondial 2022. Insuffisant pour le journaliste, très cash à son égard au micro de RMC. “Il n’a aucun bilan pour le défendre” “Je ne vais pas refaire l’histoire du bordel de 2010 mais c’est encore pire. Le pauvre Duchaussoy s’était fait bananer complètement, notamment sur cette histoire des quotas où on s’est servi de lui. Le pauvre monsieur n’avait vraiment rien fait et ne méritait pas ça. Qui était à la manœuvre derrière lui, déjà le vrai président de la Fédération même s’il ne l’était pas encore ? Je me demande si cet homme-là a déjà fait quelque chose de bien dans le football. Je me bats depuis des années pour dire que c’est faux. Après Noël Le Graët est devenu, ENFIN, le président de façade après l’avoir été en coulisses. Il n’a aucun bilan pour le défendre !” 💬

Le Comité exécutif de la FFF a maintenu la mise en retrait de Noël Le Graët, ce jeudi. Ses membres attendent la conclusion de l’audit demandé par la ministre des Sports. Le président se trouve lui aux Antilles. Selon les informations rapportées par RMC Sport, le Comex de la FFF n’a pris aucune nouvelle décision, lors de sa réunion du jour. Tous ses membres étaient présents, excepté Vincent Labrune, en déplacement à New York pour raisons professionnelles, et Noël Le Graët, qui a pris du recul et se trouve aux Antilles. Philippe Diallo assume pour l’instant ses responsabilités. Le site de la radio indique que le Comex souhaite attendre les conclusions du rapport d’audit, commandé par le ministère des Sports. L’enquête récemment ouverte contre Noël Le Graët par le parquet de Paris pour « harcèlement moral » et « harcèlement sexuel » ne pousse pas à l’optimisme quant à son avenir à la fédération. Les investigations ont été confiées à la BRDP (brigade de la répression de la délinquance contre la personne). Les polémiques ont été nombreuses, ces derniers mois Pour rappel, Noël Le Graët a été mis en retrait par le Comex la semaine passée, suite à ses propos tenus sur Zinedine Zidane, en marge de la prolongation de Didier Deschamps. Le président de la FFF a généré de nombreuses autres polémiques, ces derniers mois, avec ses prises de position sur les droits des travailleurs au Qatar, sur le racisme subi par les joueurs de l’équipe de France, ou encore sur la défense des droits LGBT. Mercredi, la

Amélie Oudéa-Castéra a réagi aux accusations de Noël Le Graët, après l’annonce de l’ouverture d’une enquête sur lui. La ministre des Sports se défend d’interférer dans l’audit ou auprès de la justice pour faire sauter le patron de la 3F. Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, a répondu aux accusations émanant de Noël Le Graët, concernant l’enquête dont il est la cible. La membre du gouvernement a assuré qu’elle n’interférait pas. « J’ai appris par voie de presse aujourd’hui l’ouverture de cette enquête. Il appartient désormais à la justice de faire son travail et de décider des suites à donner, a-t-elle expliqué. Je n’ai ni reçu, ni commenté, ni qualifié les éléments qui lui ont été transmis en toute indépendance par l’IGESR et dont le parquet a jugé qu’il devait se saisir. Et il ne m’appartient pas plus de commenter cette décision judiciaire. Chacun son rôle, ses responsabilités, c’est un principe auquel je suis très attachée. Les déclarations que j’ai faites la semaine dernière concernaient la faillite établie de Noël le Graët dans sa fonction de représentation de la Fédération, je les assume et les maintiens. » « Ses tentatives de diversion ne duperont personne » L’audit n’a pas encore livré ses conclusions. La ministre pense que la stratégie du président de la FFF a pour but de détourner l’attention : « La mission d’inspection conduite par l’IGESR (Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche, NDLR) poursuit ses travaux sur les champs qui demeurent de sa compétence, de façon là aussi indépendante, avec méthode, et les finalisera dans les

Une enquête a été ouverte par la justice sur Noël Le Graët et ses agissements. Le président de la Fédération Française de Football, actuellement en retrait, est soupçonné de harcèlement moral et sexuel. Désireux de se défendre, le Breton de 81 ans a pointé du doigt les agissements de la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera. Selon Noël Le Graët, il y a eu de “nombreuses interférences et pressions politiques” pour que la justice ouvre une enquête sur lui, ce qu’il a appris “par voie de presse”, à son grand étonnement. La ministre des Sports a répondu sèchement à l’ancien dirigeant, dans des propos relayés par RMC Sport : “Les déclarations que j’ai faites la semaine dernière concernaient la faillite établie de Noël Le Graët dans sa fonction de représentation de la Fédération, je les assume et les maintiens. (…) Noël Le Graët est un justiciable comme un autre. Il est libre d’organiser sa défense comme il le souhaite, mais ses tentatives de diversion ne duperont personne. Je ne me laisserai pas mettre en cause.” Aulas, “prudent”, inquiet et “perplexe”, veut parler à Le Graët Interrogé par le journal L’Équipe sur cette affaire, le président de l’OL, Jean-Michel Aulas, a fait part, de son côté, de sa profonde préoccupation : “J’essaie donc d’être prudent. J’ai vu le communiqué de Noël (Le Graët) qui maintient ses positions… C’est inquiétant, mais je suis aussi perplexe. Il y a une distorsion terrible entre ce qui est dit d’un côté et ce que répond Noël. Il faut que je puisse

Noël Le Graët a réagi à l’annonce de l’enquête de police ouverte pour harcèlement moral ou sexuel. Le président de la FFF s’est plaint du rôle tenu par le ministère des Sports dans toutes ces affaires. Ce mardi, le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert une enquête pour harcèlement moral et sexuel contre Noël Le Graët. La décision ferait suite à un signalement recueilli par les auditeurs de l’Inspection générale de l’éducation, du sport, et de la recherche (IGESR). La brigade de répression de la délinquance aux personnes en sera chargée. Noël Le Graët n’a pas mis longtemps à réagir. Le président de la FFF, qui a été mis en retrait il y a une semaine, a démenti «toutes (les) accusations de harcèlement moral ou sexuel ou toutes autres infractions pénales». Le dirigeant s’est également étonné d’avoir appris «par voie de presse» l’ouverture de cette enquête. Il a enfin signalé les «nombreuses interférences et pressions politiques» venues, d’après lui, de la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera. Le Graët dénonce une atteinte aux droits essentiels de la défense Le Breton regrette les fuites dans la presse, alors que le contenu de l’audit n’a pas été révélé : il « dénonce ces annonces répétées par voie de presse qui interviennent alors que la mission de l’Inspection n’a même pas encore rendu son rapport provisoire”. Il considère ainsi qu’il s’agit d’une atteinte « aux droits essentiels de la défense et au respect élémentaire du contradictoire ». Noël Le Graët est la cible de nombreuses critiques suite à ses propos jugés par beaucoup

Marion Bartoli a réagi aux accusations lancées par Noël Le Graët. Elle a démenti avoir tendu un piège au président de la FFF, lors de sa fameuse interview sur Zinedine Zidane. Sur RMC Sport, Marion Bartoli est revenue sur les conditions de l’interview de Noël Le Graët. L’ancienne championne de tennis a assuré n’avoir pas voulu piéger le président de la Fédération, comme il l’a clamé, après s’être rendu compte du bad buzz généré par ses propos. « Il est parfaitement au courant qu’on va le passer à l’antenne, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle on l’appelle au départ, à savoir la prolongation de Didier Deschamps. Moi j’étais pour », a expliqué Marion Bartoli. « Je l’ai trouvé très agressif dans ses propos » La native du Puy-en-Velay a replacé le patron du foot français face à ses responsabilités : « Il savait très bien que le nom de Zinedine Zidane allait forcément ressortir. Ce n’est pas la première interview qu’il fait au sujet de Didier Deschamps, ce n’est pas la première fois qu’on lui pose la question au sujet de Zidane. Mais c’est lui qui s’est totalement emporté, ces propos n’engagent évidemment que lui. Mais mon rôle dans l’émission est de rester calme, polie, posée, pas de monter au créneau contre lui pour faire une émission de débat. Je l’ai laissé dérouler son argumentaire. Je n’ai pas désiré partir contre lui ou monter au créneau. Ses propos m’ont bien évidemment choquée énormément parce que j’ai un respect immense pour Zidane, ce qu’il a fait en tant

L’affaire Le Graët est loin d’être terminée à en croire les dernières révélations du journal Le Monde. Le président de la Fédération française de football, qui a annoncé sa mise en retrait de la présidence mercredi devant le Comité exécutif, n’en finit plus de défrayer la chronique.  L’audit réclamé depuis plusieurs mois par le ministère des Sports au sujet de la gouvernance au sein de la Fédération française de football serait bel et bien compromettant pour Noël Le Graët. Ce dernier a visiblement été averti par les inspecteurs que des faits pouvant être pénalement répréhensibles allaient être transmis au procureur en charge de l’affaire. L’audition de l’agent Sonia Souid semble avoir fait basculer l’affaire et pousse les inspecteurs à dénoncer des faits relevant “d’outrage sexiste”, d’autant que d’autres témoignages vont visiblement dans le même sens. Reste à savoir si le parquet jugera les éléments suffisants pour ouvrir une enquête. 🗣️💬 "Je viens de prendre connaissance avec étonnement d'un article du Monde faisant état de fuites sur le rapport provisoire en cours de préparation. A ce stade je ne connais ni les faits qui me sont reprochés ni les personnes qui en sont à l'origine", a réagi Noël Le Graët. — RMC Sport (@RMCsport) January 14, 2023 La réaction de Le Graët En réaction, le dirigeant de l’instance du football français a choisi de transmettre une déclaration à l’AFP. “Je viens de prendre connaissance avec étonnement d’un article du Monde faisant état de fuites sur le rapport provisoire en cours de préparation (de l’IGESR)”, explique d’abord Le

Quelques jours après l’annonce de sa mise en retrait par la Fédération française de football, Noël Le Graët se retrouve désormais dans le collimateur de la justice. Les affaires de Noël Le Graët ne s’arrangent pas. Après sa mise en retrait par le Comité exécutif de la Fédération française de football, jusqu’à la publication de l’audit demandé par le ministère des Sports, le président de la 3F pourrait être amené à répondre de ses actes devant la justice. Selon les informations données par le journal Le Monde, “les inspecteurs chargés de l’audit diligenté par la ministre des sports à la Fédération française de football ont rapporté au procureur de la République de Paris des faits susceptibles d’être pénalement répréhensibles.” “Il m’a regardée comme deux seins et un cul !” Le quotidien indique que la mission de l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche, en charge de l’audit à la Fédération française de football, a émis un signalement à la justice pour “outrage sexiste”, en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale. Le dirigeant breton a été tenu au courant de ce signalement, décidé à la suite de l’audition de l’agente de joueurs Sonia Souid. Comme révélé sur notre site, cette dernière révélait des agissements déplacés du patron du football français. “Pour parler vulgairement, il m’a regardée comme deux seins et un cul !”, avait-elle notamment lancé contre Noël Le Graët. Pour rappel, le Comex de la Fédération française de football a nommé Philippe Diallo président par intérim, à la suite de la

Après 12 ans à la tête de la Fédération Française de Football, Noël Le Graët, en pleine polémique, a été mis de côté après une réunion du Comex, ce mercredi. C’est donc le moment idéal pour revenir sur les polémiques autour du Breton de 81 ans, avant les révélations de l’audit du ministère des Sports, qui scelleront l’avenir de l’ancien président de l’EA Guingamp.     Après avoir répondu aux questions, cliquez sur « terminé » pour obtenir votre note et votre évaluation.

Philippe Diallo s’est exprimé pour la première fois en tant que président et directeur général en intérim de la FFF, devant les salariés. Le dirigeant a rappelé que la situation n’était que temporaire et que les véritables décisions seront prises après la publication de l’audit commandé par le ministère des Sports. Phlippe Diallo a pris la parole, au lendemain de la prise de recul de Noël Le Graët. Le président et directeur général de la FFF par intérim s’est adressé à ses salariés : « J’assume l’intérim jusqu’à la fin de l’audit. Et en fonction des conclusions de cet audit, des décisions seront prises. La fédération aura 15 jours pour répondre au premier rapport provisoire des enquêteurs. Je sais que vous vivez des moments compliqués. Mais je vous demande de continuer à travailler dans la confiance », a-t-il confié. « Malgré tout cela, on n’est pas serein » Le dirigeant a également rappelé les très bons résultats sportifs et financiers obtenus par la Fédération, ces dernières années. Il a toutefois déploré que cela ne suffise pas à créer une bonne ambiance : « Malgré tout cela, on n’est pas serein », a-t-il ajouté. Pour rappel, Noël Le Graët a été placé en retrait, lors de la réunion exceptionnelle du Comex survenue mercredi. Le président de la FFF se trouvait sous le feu des critiques depuis les propos qu’il avait tenus sur Zinedine Zidane, samedi. Son dérapage faisait suite à plusieurs autres. Le Breton avait pris des positions polémiques sur les droits des travailleurs au Qatar, sur la défense des droits LGBT, ou encore

Eric Borghini a révélé le contenu de la réunion du Comex qui s’est tenue ce mercredi. Le dirigeant a notamment relaté les échanges entre Noël Le Graët et les membres du comité exécutif. Le président de la FFF a promis qu’il n’avait rien fait de grave et présenté ses excuses pour ses propos sur Zinedine Zidane. Questionné par BFMTV, Eric Borghini a détaillé le contenu de la réunion du Comex de ce mercredi. Il a notamment évoqué la défense pour laquelle avait opté Noël Le Graët. « Nous sommes allés au fond des choses. On a commencé par écouter notre président, qui a commencé le Comex en nous disant ‘je n’ai rien fait, je jure sur votre tête à tous que je n’ai rien fait et que le rapport de l’audit sera très positif pour moi, il n’y aura rien contre moi’. Il nous a ensuite présenté ses excuses pour les propos tenus sur Zinedine Zidane. Des propos qu’il ne pense pas, il est conscient de ce qu’il représente pour le football français et mondial. Il a reconnu qu’il avait commis une erreur, eu une communication non maîtrisée. Il a envoyé une lettre à Zinedine pour lui demander un rendez-vous. Il s’est excusé auprès de lui et auprès de nous », a expliqué le président de la Ligue Méditerranée, qui est proche du président. 🗣 "Notre président a commencé le Comex en nous disant 'je n'ai rien fait, je jure sur votre tête à tous que je n'ai rien fait et que le rapport de l'audit sera

Noël Le Graët ne souhaitait pas démissionner, il a finalement été mis en retrait par le Comex. Le président de la FFF va prendre du recul jusqu’à la publication de l’audit demandé par le ministère des Sports. Noël Le Graët a été la cible de multiples critiques, ces derniers jours. L’ancien maire de Guingamp a dérapé en évoquant Zinedine Zidane. Des propos qui faisaient suite à de nombreux autres sur le Qatar, le racisme dont étaient victime certains joueurs ou les droits LGBT, ainsi qu’à des accusations de harcèlement sexuel. Le Comex s’est réuni en urgence, ce mercredi matin. Il a décidé de mettre le président de la FFF en retrait. Au moins jusqu’à la publication de l’audit réclamé par le ministère des Sports sur la gouvernance de la fédération. Philippe Diallo, vice-président, va assurer l’intérim. Un petit tremblement de terre pour le football français. Nommé président de la LFP en 1991… Âgé de 81 ans, Noël Le Graët règne de main de maître sur le football français depuis le début des années 90. Le Breton a occupé le poste de président de la LFP entre 1991 et 2000, puis celui de la FFF à compter de 2011. Les polémiques se sont multipliées, ces dernières années, sans que le dirigeant ne soit inquiété. Mardi soir, certains journalistes affirmaient qu’il n’avait pas l’intention de partir malgré la tornade médiatique dans laquelle il était pris. Le comité exécutif de la fédération est néanmoins parvenu à obtenir son retrait, tandis que le Conseil national de l’éthique avait plutôt

Par la voix de son président, Patrick Anton, le Conseil national de l’éthique (CNE) de la FFF a demandé la démission de Noël Le Graët. L’étau se resserre autour du Breton. Patrick Anton, le président du Conseil national de l’éthique de la FFF, a réclamé la démission de Noël Le Graët, ce mardi. Il estime que le président de la Fédération s’est décrédibilisé, ces dernières semaines. « On appelle le président de la Fédération au retrait de ses fonctions et donc à sa démission. On a besoin d’un pouvoir qui soit fort et serein, ce qui malheureusement n’est plus le cas », a-t-il expliqué à L’Equipe. Avant de poursuivre : « On est amenés toute la saison à appliquer à des dirigeants – notamment des présidents de districts ou de ligues – les règles en matière d’éthique et à transmettre des dossiers à des commissions de discipline parce qu’ils ont franchi la ligne. Concernant le président de la Fédération, si bien évidemment on n’entend pas saisir une commission de discipline, on ne peut que lui demander de se retirer, dans l’intérêt supérieur du football », a-t-il déclaré. « On appelle à la démission de Noël Le Graët » Patrick Anton, le président du Conseil national de l'éthique de la FFF, réclame le départ du patron de la Fédération, Noël Le Graët, jugé discrédité pour occuper une telle fonction https://t.co/KpKBFUQhEO pic.twitter.com/yPenkr20En — L'ÉQUIPE (@lequipe) January 10, 2023 « C’est un homme qui est fatigué, qui a besoin de passer à autre chose » Noël Le Graët doit selon lui se retirer pour éviter

Noël Le Graët a convoqué le Comex de la FFF en vue d’une réunion en urgence : elle serait prévue demain, en fin de matinée. Y seront évoquées les énormes polémiques des derniers jours. Elles sont liées à ses propos sur Zinedine Zidane, à la mission d’audit, à la prolongation de Didier Deschamps et aux accusations de harcèlement sexuel dont est la cible le président. Rien que ça ! Florence Hardouin pourrait quant à elle être mise à pied. D’après les informations obtenues par RMC Sport, Noël Le Graët a convoqué le comité exécutif de la Fédération française de football. Il se réunira mercredi, en fin de matinée. Eric Borghini, membre du Comex, a confirmé que des discussions devaient se tenir avec le président de la FFF. 🇫🇷 Devant la tempête médiatique, Noël Le Graët va convoquer un Comex exceptionnel ce mercredi en fin de matinée.https://t.co/JffY5fmZXp — RMC Sport (@RMCsport) January 10, 2023 Florence Hardouin prête à tout déballer ? Les débats devraient donc concerner les nombreuses polémiques qui visent le patron du football français. Et ce depuis plusieurs jours. Après les polémiques liées à ses prises de positions sur le Mondial qatari, Noël Le Graët a tenu des propos jugés irrespectueux à l’égard de Zinedine Zidane. Le dirigeant pourrait également faire les frais de l’audit commandé par la ministre des Sports sur le fonctionnement de la FFF. Un entretien était programmé ce mardi avec les trois enquêteurs qui en sont chargés. Les conclusions de l’audit, divulguées à la mi-février, pourraient largement le mettre en cause. L’ancien

Daniel Riolo est revenu sur les propos tenus par Noël Le Graët, concernant le possible remplacement de Didier Deschamps par Zinedine Zidane. Le journaliste pense que le premier ne laissera pas sa place au second. Sur RMC Sport, Daniel Riolo a donné son sentiment sur l’avenir du poste de sélectionneur des Bleus. Le journaliste ne pense pas que Didier Deschamps laissera la place à Zinedine Zidane : « Si on demande à Deschamps, il s’accrochera au poste. Surtout, il ne lâchera jamais le poste à Zidane, c’est clair et net », a-t-il confié. D’après lui, le Basque ne fera pas le moindre cadeau à son ancien partenaire de la Juventus de Turin et de l’équipe de France : « Il ne lâchera pas à Zidane, car il sait qu’il est plus aimé que lui, et il y a une blessure narcissique chez Deschamps depuis toujours d’être moins aimé que d’autres gens de 98. » Il y a quelques jours, Noël Le Graët a indiqué souhaiter conserver Didier Deschamps sur le banc des Bleus, après le Mondial. Le président de la FFF parait convaincu de ne pas pouvoir trouver mieux.

La FFF a officiellement déposé une réclamation, suite au but refusé à Antoine Griezmann, lors de Tunisie-France (1-0). Le recours pourrait aboutir. La Fédération française de football a indiqué à RMC Sport qu’elle avait déposé une réclamation, suite à la rencontre Tunisie-France. L’arbitre avait sifflé la fin du match, avant que la VAR n’intervienne et annule le but inscrit par Antoine Griezmann quelques secondes auparavant. Or un officiel ne peut pas recourir à la vidéo de cette façon. Le recours pourrait cette fois aboutir, ce qui invaliderait le classement actuel du groupe. L’équipe de France pourrait obtenir un point supplémentaire. La Tunisie terminerait quant à elle la compétition avec un total de 2 points, sans être parvenue à gagner.

Pascal Garibian et Laurent Duhamel vont être évincés de leur fonction, selon RMC Sport. Les clubs professionnels auraient mis la pression sur la FFF pour obtenir leur départ. Les noms de leurs successeurs ne sont pas connus. D’après les informations divulguées par la radio, Pascal Garibian, président de la Direction technique de l’arbitrage (DTA), et Laurent Duhamel, manager des arbitres du secteur professionnel, vont quitter leurs postes dans les prochaines semaines. Noël Le Graët, président de la FFF, aurait cédé à la pression mise par les clubs professionnels pour obtenir leurs départs. La Fédération va désormais auditionner leurs potentiels successeurs. Selon le média, trois noms se dégagent : Stéphane Lannoy, Antony Gautier et Alain Sars.

Zinedine Zidane se serait entendu avec la FFF, en vue de la succession de Didier Deschamps. L’ancien Madrilène devrait devenir sélectionneur de l’équipe de France, après le Mondial. D’après les renseignements obtenus par TdF, un deal a été trouvé entre la FFF et Zinedine Zidane, dans l’optique de prendre place sur le banc des Bleus. L’ancien coach du Real Madrid devrait bien succéder à Didier Deschamps, au début de l’année 2023. Et ce quels que soient les résultats de l’équipe du Basque durant la compétition. Le média précise que Didier Deschamps est déjà informé de la décision de la Fédération de ne pas renouveler son bail. Le technicien totalise 132 rencontres comme sélectionneur, pour 84 succès, 26 matchs nuls et 22 défaites. Il a notamment remporté la Coupe du monde 2018.

Sur BFM TV, Amélie Oudéa-Castera, la ministre des Sports, a demandé à la FFF de “nettoyer” les violences de toutes sortes en son sein. Alors que des affaires sexuelles entachent gravement la Fédération Française de Football (FFF) et ses dirigeants, Noël Le Graët et Florence Hardouin en tête, la ministre a demandé l’exemplarité à la Fédération : “Quand on est la première Fédé de France, on se doit d’être exemplaire, ce n’est pas négociable.” Amélie Oudéa-Castra a confirmé avoir diligenté une enquête sur la FFF : “La lettre de mission est en train d’être finalisée. (…) J’ai insisté sur le respect absolu des personnes, lutte contre toutes formes de violence, sexistes et sexuelles, lutte contre les discriminations. (…) Il faut que cette Fédération s’empare mieux du sujet car il doit y avoir zéro tolérance.” La ministre des Sports a confié que le football avait besoin d’être “un peu nettoyé d’un certain nombre de dysfonctionnements” et qu’elle voulait l’éradication “des violences” de toutes sortes.

Quelques heures après le rendez-vous entre la Ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, Noël Le Graët (président de la FFF) et Florence Hardouin (directrice générale de la FFF), de nouvelles révélations viennent ternir l’image de l’instance du football français.  Noël Le Graët et Florence Hardouin étaient convoqués pour évoquer, entre autres, les révélations du magazine So Foot sur des dérives supposées au sein de l’instance et un climat délétère dénoncé dans plusieurs témoignages. D’après le média Josimar, la Fédération française de football aurait surtout gardé le silence sur 40 ans d’abus sexuels. L’étau se resserre autour de Le Graët et son avenir à la tête de la FFF est plus qu’incertain…

Le Comité exécutif a validé la proposition de conciliation du CNOSF, concernant le maintien des Girondins de Bordeaux en Ligue 2. Philippe Terrier, le président de Villefranche, est hors de lui, dénonçant une injustice. La FFF a accepté la conciliation du CNOSF. Le club bordelais évoluera en Ligue 2, la saison qui arrive : “Le comité exécutif de la FFF demande à la Direction Nationale du Contrôle de Gestion des clubs professionnels (DNCG) de convoquer le FC Girondins de Bordeaux pour juger de toute mesure immédiate de suivi et de contrôle à son encontre. Le comité exécutif de la FFF demande également à la DNCG d’exercer un contrôle financier renforcé et régulier du club durant la saison 2022-2023”, a indiqué la fédération par le biais d’un communiqué. Le CNOSF avait donc préconisé d’annuler la relégation du club bordelais, après que Gérard Lopez et ses partenaires aient renforcé son dossier. King Street et Fortress avait notamment décidé d’annuler la moitié de la dette des Girondins, tandis que 14 millions d’euros avaient été mis sous séquestre en garantie de trésorerie. Les dirigeants avaient aussi annoncé un accord pour le transfert de Sékou Mara à Southampton : l’opération a apporté 11 millions d’euros, hors bonus, dans les caisses bordelaises. En outre, le plan proposé par les décideurs du club a été défendu par le tribunal de Commerce de Bordeaux. Une grande mobilisation et un verdict qui n’ont pas fait que des ravis. “Mais attendez, on est dans une démocratie, non ?” La décision a en effet agacé le

La Fédération française de football est sortie du silence, mardi, trois jours après les débordements du Stade de France samedi dernier, lors de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool. La FFF indique que la sécurité a été remise en cause par des milliers de faux billets. “Dans le cadre de la finale de la Ligue des Champions du 28 mai dernier au Stade de France, en complément du dispositif de sécurité publique, la FFF a mis en place 1 650 agents de sureté et d’accueil en anticipation d’une éventuelle présence de personnes sans billets ou en possession de faux billets. Ce dispositif est supérieur de 25% à celui d’un match de l’Équipe de France à guichets fermés. Il a été validé par la Préfecture de Police en tenant compte des informations dont la FFF disposait dans le cadre de la préparation de la Finale de la Ligue des Champions. 75 000 billets ont été édités, par conséquent, 75 000 personnes auraient dû se rendre au Stade de France. Sur la base des informations recueillies auprès des différents opérateurs publics et privés, la FFF a cependant constaté que 110 000 personnes s’étaient rendues au SDF. Ces 35 000 personnes supplémentaires, en possession de faux billets ou sans billets, ont provoqué des troubles à l’ordre public en bloquant les portes d’accès au stade et en empêchant certains titulaires de vrais billets d’y accéder avant le coup d’envoi du match prévu à 21h.”

La finale de la Coupe de France qui opposera Nantes à Nice au Stade de France, le samedi 7 mai, se disputera à guichets fermés. Dans un communiqué, la Fédération française de football a fait savoir que le match entre les Canaris d’Antoine Kombouaré et les Aiglons de Christophe Galtier fera le plein. “Les 9 000 derniers billets disponibles pour la finale de la Coupe de France 2022, opposant l’OGC Nice et le FC Nantes et mis en vente à 10h00 ce mardi 26 avril, ont trouvé preneurs en moins d’une heure ce matin. La finale de la 105e édition de la Coupe de France se jouera donc à guichets fermés devant près de 80 000 spectateurs, dont 40 800 supporters du FC Nantes et de l’OGC Nice.” Dans le détail, 21 000 supporters nantais et 19 800 fans niçois prendront place dans l’enceinte basée à Saint-Denis. Pour rappel, la finale sera arbitrée par Stéphanie Frappart.

Bruno Genesio est passablement agacé par le calendrier qui attend le Stade Rennais, lors des dernières journées de la Ligue 1. Le coach breton s’en est pris aux instances, la LFP et la FFF, qu’il accuse de ne pas consulter les clubs. En conférence de presse, Bruno Genesio a fait part de sa colère concernant le calendrier de fin de saison. Le coach du Stade Rennais considère que son équipe va être lésée : «On aura, entre Saint-Étienne et Nantes (le 11 mai, 36e journée) une coupure de douze jours, car les gens qui font le calendrier ont eu la bonne idée de mettre la finale de la Coupe de France un samedi (le 7 mai) pendant une journée de Championnat (le 8 mai). On jouera le mercredi (11 mai, à Nantes) avant de recevoir Marseille le samedi (14 mai, 37e journée), c’est très arrangeant, vraiment très bien fait pour l’équité… Un jour, on nous consultera avant de faire des choses incohérentes, peut-être. Mais on verra après Saint-Étienne ce qu’on est capables de jouer !» a lancé le technicien face aux médias. Actuel 3e du classement, le Stade Rennais est idéalement positionné pour prendre part à la lutte pour le podium.

L’entourage de Kylian Mbappé est revenu sur le refus de l’attaquant français de ne pas participer à des opérations commerciales avec les sponsors des Bleus. Dans un entretien au journal L’Equipe, l’avocate du champion du monde 2018 a interpellé la Fédération française de football. L’attitude de Kylian Mbappé a fait du bruit. Pendant cette trêve internationale, l’attaquant français du Paris Saint-Germain a refusé de prendre part à des opérations d’ordre commercial avec les sponsors des Bleus, en marge des deux matchs amicaux contre la Côte d’Ivoire (2-1) et l’Afrique du Sud (29 mars). Noël Le Graët, Didier Deschamps, Hugo Lloris… Les réactions se sont enchaînées sur la position ferme du champion du monde 2018. Si le principal intéressé est lui resté muet, son entourage est sorti du silence par la voix de son avocate. Dans le cadre d’une interview donnée au quotidien L’Equipe, Delphine Verheyden a dévoilé les raisons de ce refus de l’ancien Monégasque. “Kylian veut intervenir sur ce qu’il génère.” Selon cette spécialiste du droit à l’image, le natif de Bondy ne veut pas prêter son nom à des sponsors qui ne correspondent pas à ses attentes. “Il est important que les joueurs soient en harmonie avec les publicités auxquelles ils participent. Ils ont pour leur jeune public un rôle de modèle. Ce rôle doit être manié avec précaution (…) À la sortie de la Coupe du monde, Kylian a essayé, malgré le nombre invraisemblable de propositions reçues, d’avoir toujours une ligne dans ses choix. Plutôt que de la nourriture pouvant conduire à l’obésité,