À la mi-temps du match entre le PSG et l'OL, Thierry Henry a fait part de son incompréhension quant au penalty non sifflé sur la main de Dejan Lovren.
VAR ou pas VAR, les décisions arbitrales feront toujours parler. C'est une nouvelle fois le cas dans le choc de cette 29ème journée entre le PSG et l'OL où les hommes de Christophe Galtier auraient pu (dû ?) bénéficier d'un pénalty dans les arrêts de jeu de la première période.
Trouvé dans la surface par Lionel Messi, Nuno Mendes centre du droit et son ballon vient heurter la main décollée mais a priori involontaire de Dejan Lovren. François Letexier ne bronche et l'assistance vidéo ne semble pas voir “d'erreur manifeste” sur l'action et confirme la décision de l'arbitre central. Une décision incompréhensible pour Thierry Henry, qui n'a pas manqué de livrer son avis tranché à la mi-temps de la rencontre.
“Pénalty une fois, deux fois, trois fois. Même s'il rate le pénalty, il y a re-pénalty.”
“Une fois, deux fois, trois fois, même s'il le rate, il doit le retirer tellement qu'il y a penalty, a bondi le champion du monde 1998 sur Prime Video. Il faut arrêter. Il y a un truc qui s'appelle la logique dans le football. Lorsque tu envoies une frappe qui part n'importe où et que ta main est malencontreusement sur la trajectoire, dans un mouvement naturel, il y a penalty et là, alors qu'on voit clairement que le ballon va à un Parisien, en l'occurrence Mbappé, on ne siffle pas ? Il y a pénalty 10 fois. Tout ça est logique. Super. On avance dans le football, c'est bien.”
😭😭😭😭 Thierry Henry : "Pénalty une fois, deux fois, trois fois. Même s'il rate le pénalty il y a re-pénalty."#PSGOL pic.twitter.com/4zT3Bi6wOK
— Prime Video Sport France (@PVSportFR) April 2, 2023
Cette décision a clairement changé le cours du match puisque dix minutes après le retour des vestiaires, Bradley Barcola a ouvert le score pour les Gones. Comme souvent, le problème dans ce genre de situation, c'est qu'aucune explication n'est avancée par le corps arbitral pour justifier sa décision, laissant joueurs et spectateurs dans l'incompréhension…
