L’actu Mercato et transferts Mohamed Salah
Biographie et détails sur le joueur Mohamed Salah
Il est l’un des meilleurs joueurs africains de l’histoire et l’un des meilleurs footballeurs du moment : machine à marquer et redouté pour sa vitesse, Mohamed Salah affole les compteurs avec Liverpool. Mais l’Egyptien n’a pourtant pas eu un parcours rectiligne. Zoom sur la carrière de Mohamed Salah.
Né à Basyoun, près d’Alexandrie, le petit Mohamed caresse très vite le rêve de devenir joueur professionnel. Et, pour y parvenir, il est prêt à tous les sacrifices. Le parcours de Mohamed Salah débute lorsqu’il est intégré dans l’équipe d’Al-Mokawloon, au Caire, à 14 ans, et loin de chez lui. «C’était à plus de quatre heures de chez moi. J’avais une dérogation pour aller à l’école seulement de 7 heures à 9 heures du matin, puis je prenais trois, quatre ou cinq bus pour arriver au Caire avant 14 h 30. Je m’entraînais entre 16 heures et 18 heures. Puis je reprenais les transports et j’étais chez moi après 22 heures. Et je faisais ça cinq jours par semaine», racontait récemment l’Egyptien.
Ces sacrifices portent rapidement leurs fruits dans le parcours de Mohamed Salah. Lancé à seulement 17 ans chez les pros par Al-Mokawloon, le jeune talent devient le plus jeune joueur de l’histoire du championnat égyptien. Et il n’a que 19 ans lorsqu’il fête sa première cape avec les Pharaons. Mais, dans un premier temps, c’est surtout avec la sélection Olympique qu’il se distingue, à l’occasion d’un match amical contre le FC Bâle, qui décide de miser 2,5 M€ pour le recruter à l’été 2012. Loin de connaître des difficultés d’adaptation en Europe, l’Egyptien est désigné meilleur joueur du championnat suisse dès sa première saison. Mais c’est surtout lors de l’exercice suivant qu’il impressionne en marquant à deux reprises contre Chelsea en phase de groupes de Ligue des Champions, pour deux victoires de Bâle à la clé.
Des performances suffisantes pour convaincre les Blues de le recruter pour 16,5 M€ en janvier 2014. C’est là que le parcours de Mohamed Salah va emprunter un chemin un peu plus cabossé. Alors qu’il espérait la consécration, l’Egyptien va vivre le premier échec de sa carrière à Londres. Un maigre total de 19 apparitions (2 buts) en un an sous les ordres de José Mourinho le convainc de partir en prêt à la Fiorentina. Pari réussi, le Pharaon retrouve le sourire et tape dans l’œil de l’AS Rome, qui l’accueille, en prêt également, en 2015-16. Elu meilleur joueur de son équipe cette saison-là, Salah est ensuite acheté 15 M€ par la Roma à l’été 2016 et effectue un nouvel exercice stratosphérique avec 15 buts et 11 passes décisives à la clé.
On s’arrache Salah et c’est Liverpool qui rafle la mise en déboursant 42 M€ + 8 M€ de bonus à l’été 2017. C’est là que la carrière de Mohamed Salah explose vraiment et l’Egyptien marque but sur but. Avec trois finales de la Ligue des champions, dont un sacre en 2019, un titre de champion d’Angleterre en 2020, des sacres dans les coupes nationales et même au Mondial des clubs, le Pharaon remporte tous les titres possibles. Et il brille individuellement comme en attestent ses 3 titres de meilleur buteur de Premier League, ses 2 trophées de meilleur joueur de PL de la saison, ses 2 titres de meilleur joueur africain de l’année ou encore son statut honorifique de meilleur buteur africain de l’histoire de la Premier League. Salah termine aussi dans les 7 premiers du Ballon d’Or à trois reprises. Le tout en qualifiant l’Egypte pour sa première Coupe du monde depuis 28 ans en 2018. Déjà une sacrée carrière !
Une jeunesse de sacrifices
Né à Basyoun, près d’Alexandrie, le petit Mohamed caresse très vite le rêve de devenir joueur professionnel. Et, pour y parvenir, il est prêt à tous les sacrifices. Le parcours de Mohamed Salah débute lorsqu’il est intégré dans l’équipe d’Al-Mokawloon, au Caire, à 14 ans, et loin de chez lui. «C’était à plus de quatre heures de chez moi. J’avais une dérogation pour aller à l’école seulement de 7 heures à 9 heures du matin, puis je prenais trois, quatre ou cinq bus pour arriver au Caire avant 14 h 30. Je m’entraînais entre 16 heures et 18 heures. Puis je reprenais les transports et j’étais chez moi après 22 heures. Et je faisais ça cinq jours par semaine», racontait récemment l’Egyptien.
Bâle, le tremplin européen pour Salah
Ces sacrifices portent rapidement leurs fruits dans le parcours de Mohamed Salah. Lancé à seulement 17 ans chez les pros par Al-Mokawloon, le jeune talent devient le plus jeune joueur de l’histoire du championnat égyptien. Et il n’a que 19 ans lorsqu’il fête sa première cape avec les Pharaons. Mais, dans un premier temps, c’est surtout avec la sélection Olympique qu’il se distingue, à l’occasion d’un match amical contre le FC Bâle, qui décide de miser 2,5 M€ pour le recruter à l’été 2012. Loin de connaître des difficultés d’adaptation en Europe, l’Egyptien est désigné meilleur joueur du championnat suisse dès sa première saison. Mais c’est surtout lors de l’exercice suivant qu’il impressionne en marquant à deux reprises contre Chelsea en phase de groupes de Ligue des Champions, pour deux victoires de Bâle à la clé.
Chelsea, son seul échec
Des performances suffisantes pour convaincre les Blues de le recruter pour 16,5 M€ en janvier 2014. C’est là que le parcours de Mohamed Salah va emprunter un chemin un peu plus cabossé. Alors qu’il espérait la consécration, l’Egyptien va vivre le premier échec de sa carrière à Londres. Un maigre total de 19 apparitions (2 buts) en un an sous les ordres de José Mourinho le convainc de partir en prêt à la Fiorentina. Pari réussi, le Pharaon retrouve le sourire et tape dans l’œil de l’AS Rome, qui l’accueille, en prêt également, en 2015-16. Elu meilleur joueur de son équipe cette saison-là, Salah est ensuite acheté 15 M€ par la Roma à l’été 2016 et effectue un nouvel exercice stratosphérique avec 15 buts et 11 passes décisives à la clé.
Salah sur le toit du monde avec Liverpool
On s’arrache Salah et c’est Liverpool qui rafle la mise en déboursant 42 M€ + 8 M€ de bonus à l’été 2017. C’est là que la carrière de Mohamed Salah explose vraiment et l’Egyptien marque but sur but. Avec trois finales de la Ligue des champions, dont un sacre en 2019, un titre de champion d’Angleterre en 2020, des sacres dans les coupes nationales et même au Mondial des clubs, le Pharaon remporte tous les titres possibles. Et il brille individuellement comme en attestent ses 3 titres de meilleur buteur de Premier League, ses 2 trophées de meilleur joueur de PL de la saison, ses 2 titres de meilleur joueur africain de l’année ou encore son statut honorifique de meilleur buteur africain de l’histoire de la Premier League. Salah termine aussi dans les 7 premiers du Ballon d’Or à trois reprises. Le tout en qualifiant l’Egypte pour sa première Coupe du monde depuis 28 ans en 2018. Déjà une sacrée carrière !