PSG : “Il apporte tout ce dont j’ai besoin”, Luis Enrique encense une recrue

Fort de quatre succès de rang, le Paris Saint-Germain accueille Montpellier en ouverture de la 11ème journée de Ligue 1. En cas de victoire, les hommes de Luis Enrique pourraient occuper provisoirement le fauteuil de leader.

Quatre jours avant un déplacement qui s’annonce périlleux à San Siro, le PSG devra faire le boulot face à une équipe de Montpellier qui a repris du poil de la bête ses dernières semaines, avec notamment une victoire 3-0 face à Toulouse le week-end dernier.

Malgré les bons résultats récents, Luis Enrique a estimé que le champion de France en titre était toujours en rodage : “L'équipe fait des choses très bien, mais on est encore dans une phase initiale, a jugé le technicien espagnol en conférence de presse. On est encore dans un processus de synergie pour voir quels joueurs s'entendent le mieux. Je trouve que j'ai un effectif incroyable avec des joueurs de qualité à chaque position. Je suis satisfait de mon équipe comme je l'ai dit à la fin du mercato, mais il y a toujours de la marge pour s'améliorer.

“Il est de la race des leaders”

Bien que l’ex-entraîneur du Barça cherche encore la formule idéale de son propre aveu, il semble en tout cas satisfait de l’une de ses recrues : Milan Skriniar. Pas forcément tranchant sur certains matchs, notamment sur la couverture de la profondeur, le défenseur central répond aux attentes de son coach : “Milan Skriniar, plus que tous les messages qu'on pourrait envoyer, il faut regarder les minutes jouées, lance Luis Enrique en conférence de presse. C'est l'un de ceux qui a le plus joué,je l'aime énormément. Il a une grosse expérience, il apporte tout ce dont j'ai besoin. Il est bon pour relancer le ballon, il est très intelligent tactiquement. Il est très important. Il est de la race des leaders.

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Depuis son arrivée à l’intersaison, le Slovaque a disputé 12 matchs toutes compétitions confondues avec le PSG, tous en tant que titulaire.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.