Mercato - Un grand espoir européen débarque à Strasbourg !

Pour pallier la longue blessure de Lebo Mothiba, victime d'une fracture de la rotule du genou gauche, le RC Strasbourg va s'attacher les services d'un jeune espoir européen particulièrement courtisé.

Grâce à leurs trois victoires consécutives en Ligue 1, les joueurs de Patrick Vieira sont revenus dans le bon wagon avant la trêve hivernale. Le succès acquis face à Lille lors de la 17ème journée (2-1) a permis aux Alsaciens de remonter à la neuvième place au classement, à seulement quatre points des places européennes. Strasbourg espère donc surfer sur cette belle dynamique et utiliser le mercato pour repartir sur les mêmes bases dès le mois de janvier.

Il y a quelques jours, on apprenait d'ailleurs que Chelsea pourrait recruter le latéral gauche de Boca Juniors Valentin Barco par l'intermédiaire de Strasbourg et ainsi le faire progresser dans le championnat de France avant de le rapatrier en Premier League. Mais la première recrue hivernale pourrait finalement venir de Serbie puisque Strasbourg serait tout proche d'enrôler Milos Lukovic croit savoir L'Equipe, que le média qualifie comme “un des plus grands espoirs européens“.

10 buts en 19 matchs

Le Racing, qui vient de perdre Lebo Mothiba probablement jusqu'à la fin de la saison, a rapidement trouvé son successeur. Pour s'attacher les services du joueur de 18 ans, les dirigeants alsaciens ont déboursé 5,5 millions d'euros pour convaincre l'IMT Belgrade.

L'attaquant serbe a inscrit 10 buts et délivré une passe décisive sur les 24 buts marqués par son club en 19 matchs de championnat. Nos confrères de L'Équipe affirment que le LOSC était également sur les rangs pour signer Lukovic.

Patrick Vieira devra donc composer avec un autre très jeune joueur dans son effectif pour la deuxième partie de saison. Après avoir fait son entrée en lice face à Chinon Cinais en Coupe de France, Strasbourg se déplacera sur la pelouse de l'Olympique de Marseille le 12 janvier prochain.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.