Les multiples communications du FC Barcelone sur l'avenir de plusieurs joueurs a fini par joueur des tours au club catalan, qui a ensuite fait marche arrière. Explications.

Ce dimanche, le 2ᵉ de Liga a rendu public le départ de trois éléments de son effectif, comme l'a fait par exemple l'Atlético Madrid avec Mario Hermoso, Memphis Depay et Gabriel Paulista. Selon des publications sur les réseaux sociaux, Marcos Alonso, João Felix et João Cancelo ne vont “pas continuer” avec le FC Barcelone la saison prochaine. Le premier, âgé de 33 ans, est en fin de contrat et pourrait s'engager avec les Colchoneros sous peu. Le cas de deux seconds est un peu plus particulier : prêtés respectivement par l'Atltético Madrid et Manchester City, les deux Portugais vont rentrer dans leurs clubs respectifs dès le 1ᵉʳ juillet.

Or, le Barça est revenu sur ces annonces.

Le Barça retourne sa veste

Le club catalan a en effet supprimé les publications sur les réseaux sociaux qui concernaient João Felix et João Cancelo. Marcos Alonso est sûr de s'en aller, lui, mais pas les deux joueurs lusitaniens, présents avec leur sélection à l'Euro 2024. La situation de l'attaquant de 24 ans a été mouvante, cette saison : parfois sur le banc avec Xavi, l'ancien joueur de Benfica est finalement toujours désiré par la direction du FC Barcelone pour la prochaine saison, d'après les informations relayées sur X par Fabrizio Romano. Reste à s'entendre avec l'Atlético Madrid, alors que l'intéressé a publiquement affirmé vouloir continuer l'aventure en Catalogne.

Même chose pour João Cancelo : le latéral, toujours titulaire cette saison, n'entre pas dans les plans de Pep Guardiola à Manchester City. Un départ est donc à prévoir, et le Barça pourrait accueillir à nouveau l'ancien joueur de l'Inter et de la Juventus. Mais le champion d'Angleterre a des exigences, comme le rappelait le Sun mi-juin : un transfert de 30 millions ou un prêt payant avec prise en charge intégrale du salaire.

Ça ne va pas faciliter la tâche du Barça mais le club y croit, comme le montre l'imbroglio sur les réseaux sociaux.