Présent en conférence de presse ce mardi, à la veille du match de Coupe de France OM-PSG, Christophe Galtier s'est exprimé sur son ressenti avant le match contre l'OM, et sur le mois de février du PSG plus globalement, ainsi que sur la rivalité entre Gianluigi Donnarumma et Keylor Navas.
Le Costaricien Keylor Navas a quitté le PSG le dernier jour du mercato, direction la Premier League et Nottingham Forest. Un soulagement, a priori, pour le staff et Gianluigi Donnarumma, alors que l'ancien gardien de but du Real Madrid avait manifesté ouvertement son mécontentement devant son absence de temps de jeu.
Selon l'ancien coach de l'ASSE, cela dit, il ne faut pas envisager les choses sous cet angle : “Non, (Donnarumma) n'avait pas besoin d'être plus libéré. Les choses étaient très claires entre Gigio (Donnaruma), Keylor (Navas) et moi sur la hiérarchie. (…) Il (Keylor Navas) s'est très bien comporté pendant les six premiers mois. Il avait envie de jouer, il souhaitait partir pour jouer, évidemment qu'il n'acceptait pas la situation. Mais son comportement a toujours été exemplaire (…).”
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Galtier se confie sur son stress
Alors que le journaliste Daniel Riolo a affirmé que Christophe Galtier était “proche du burn-out”, l'entraîneur français a plutôt dit être “sous pression” depuis son arrivée au PSG, alors qu'un journaliste l'interrogeait pour savoir si ce mois de février était le plus excitant de toute sa carrière : “Je n'y avais pas pensé, mais oui, c'est vrai. J'ai déjà connu des périodes compactes, mais quand vous êtes entraîneur du PSG, il y a une obligation de résultats. Je ne suis pas sous pression particulièrement en ce mois de février, je suis sous pression depuis que j'ai signé.”
Le PSG, durant ce mois de février, va affronter à deux reprises l'OM, en Coupe de France, demain soir, au Vélodrome, puis en L1, le 26 février, toujours à Marseille. Et dans une semaine, le club francilien va disputer son huitième de finale aller de Ligue des Champions contre le Bayern Munich. De gros matchs, où le PSG et Christophe Galtier avec lui n'ont pas le droit à l'erreur.