Mercato - Naples : le PSG devancé pour Osimhen ?

Sur les tablettes du Paris Saint-Germain en vue du mercato d'été, Victor Osimhen suscite également l'intérêt d'un cador européen.

Recruté par Naples à l'été 2020 pour une somme avoisinant les 70 millions d'euros en provenance de Lille, Victor Osimhen réalise une saison fantastique du côté du Napoli, tant sur le plan individuel que collectif. Quasiment assurés d'être champion d'Italie grâce à leurs 16 points d'avance, les hommes de Luciano Spalletti sont toujours dans la course pour décrocher la Ligue des Champions, opposés au Milan AC en quart de finale.

Des performances en partie rendues possibles par les excellentes prestations de Victor Osimhen dans la ville aux 500 coupoles. Le Nigérian a déjà inscrit 20 buts et délivré 4 passes décisives en seulement 26 titularisations cette saison. Naturellement, l'ancien du LOSC fait tourner la tête des plus grands clubs européens, et notamment du Paris Saint-Germain, qui en a fait l'une de ses cibles pour se renforcer sur le front de l'attaque à l'intersaison. Pour autant, le club de la capitale pourrait se faire doubler dans ce dossier, nous apprend Sky Sport Germany.

Le Bayern Munich en pôle ?

Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve“, avait déclaré Osimhen récemment. Une chose est sûre, si Luis Campos et le PSG souhaitent s'offrir les services du meilleur buteur de la Serie A, ils devront se montrer convaincants puisque le Bayern Munich en aurait fait sa priorité cet été. En effet, d'après le média allemand, les dirigeants bavarois apprécient énormément le profil de l'attaquant de 24 ans et pourraient dégainer une offre si Thomas Tuchel valide cette piste.

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Victor Osimhen dispose d'une valeur marchande de 100 millions d'euros selon Transfermarkt. Avec un contrat qui court jusqu'en juin 2025, le président du Napoli Aurelio De Laurentiis pourrait négocier son départ à, au moins, 125 millions d'euros au vu de la concurrence. Une somme que le PSG pourrait même débourser sans problème, puisque le club s'est défait des griffes du fair-play financier.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.