Man City : l’énorme prime que pourrait toucher Haaland

Auteur de performances remarquables, Erling Haaland joue un grand rôle dans l'excellente saison qu'est en train de réaliser Manchester City. 

Ce samedi, les Citizens ont signé leur dixième victoire consécutive en Premier League face à Leeds (2-1) dans le cadre de la 35ème journée, prenant ainsi quatre points d'avance sur Arsenal à trois matchs du terme. Un succès quasiment synonyme de titre puisque les hommes de Pep Guardiola disposent d'un match de retard face à Brighton.

Une rencontre dans laquelle Erling Haaland n'a pas marqué, un fait assez rare pour être souligné. Le Norvégien a même subi les foudres de son entraîneur après avoir laissé Gundogan frapper un penalty (qu'il a raté) à sa place. “Tu devais le prendre !” lui a notamment reproché son entraîneur durant le match, avant de donner plus d'explications en conférence de presse : “Erling est un homme. Il est incroyable, il veut marquer, mais en même temps, l’équipe, ses amis, lui importent beaucoup.” 

Une très grosse prime attend Haaland en fin de saison

Mais si Manchester City est encore en lice pour réaliser un triplé historique, c'est en partie grâce aux performances stratosphériques de son Cyborg qui a d'ailleurs battu le record du nombre de buts inscrits en Premier League avec 35 réalisations. Des performances individuelles et collectives qui vont permettre à Haaland de toucher un joli jackpot en fin de saison.

En effet, d'après les informations obtenues par The Sun, l'ancien attaquant du Borussia Dortmund pourrait toucher pas moins de 5 millions de livres (5.6 millions d'euros). Un million serait lié à une victoire en Ligue des Champions, la même somme à un titre en Premier League, 350 000 pourrait également venir s'ajouter à tout cela en cas de victoire en Cup face à Manchester United. Un titre de meilleur joueur de Premier League et un Ballon d'Or en fin d'année pourrait également venir faire gonfler cette somme.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.