En difficulté pour sa première saison au Paris Saint-Germain, Renato Sanches figurerait sur les tablettes d'un club évoluant dans un championnat de seconde zone, prêt à s'attacher ses services pendant le mercato estival.
Il l'a reconnu lui-même. Pas aidé dans sa progression par les blessures, Renato Sanches n'a pas caché avoir vécu une pénible saison 2022-2023 avec le Paris Saint-Germain. Recruté par les dirigeants franciliens durant l'été 2022 contre un chèque de 15 millions d'euros, le milieu de terrain portugais fait partie des principaux flops du mercato francilien. En dépit de 24 matchs disputés toutes compétitions confondues, pour 2 buts, l'ancien pensionnaire du Bayern Munich n'a eu le droit qu'à cinq titularisations en championnat de la part de Christophe Galtier, un coach aux côtés duquel il décrochait en 2021 le titre de champion de France avec Lille.
Entré en jeu samedi dernier contre l'AC Ajaccio (5-0, 35e journée), le joueur de 25 ans fera-t-il encore partie de l'effectif parisien la saison prochaine ? Rien n'est moins sûr, même si son sort dépendra notamment de l'identité du futur coach, amené à supplanter le Marseillais pour lequel la tendance demeure à un départ.
Leader de son championnat
En coulisses, une formation d'un championnat de second plan surveillerait la situation du champion d'Europe 2016, 32 sélections et 3 buts avec le Portugal. Un club turc penserait à recruter le natif de Lisbonne, dont l'actuel contrat court jusqu'en juin 2027 avec Paris. Selon les informations de Fanatik, Galatasaray envisagerait une arrivée de l'ex-sociétaire du Bayern Munich.
L'écurie basée à Istanbul n'est pas encore passée concrètement à l'action. Nos confrères croient savoir que Renato Sanches serait disposé à débarquer au sein de la Süper Lig. Leader de son championnat avec deux longueurs d'avance sur Fenerbahçe, le club coaché par Okan Buruk compte dans ses rangs plusieurs noms ronflants, parmi lesquels Mauro Icardi, Juan Mata et Dries Mertens, mais aussi l'ancien attaquant de Saint-Etienne, Marseille et Lyon Bafétimbi Gomis. Affaire à suivre…