PSG : Hernandez répond déjà à une polémique

Un Marseillais à Paris ! Ce dimanche, le Paris Saint-Germain a officialisé la signature de Lucas Hernandez jusqu’en juin 2028.

Recruté en provenance du Bayern Munich, l’international français a coûté 47 millions d'euros à son nouvel employeur, parvenu à l’arracher au Rekordmeister qui comptait dans un premier temps prolonger son contrat qui s’achevait dans un an.

Invité à livrer ses premiers mots au micro de PSG TV, le défenseur central de 27 ans a tenu à rassurer les supporters du club de la capitale sur un premier point : son état physique. Rappelons que l’ancien joueur de l’Atletico Madrid n’a plus joué depuis sa blessure aux ligaments croisés contractée à la Coupe du monde 2022. «Une grosse blessure comme les ligaments croisés c’est jamais facile. Cela fait déjà sept mois que j’ai vécu cette blessure. Maintenant vous pouvez être tranquilles, je suis à 200% et j’ai hâte de reprendre avec l’équipe dès le premier jour. Mon genou est nickel et tout va très bien», a clarifié le transfuge du Bayern, également parvenu à convaincre le PSG lors de sa visite médicale.

Hernandez répond au CUP

https://twitter.com/MercaFoot_/status/1678017329739845640

Mais c’est surtout sur un autre terrain qu’Hernandez était attendu : son passé, voire passif, de Marseillais. Outre le fait d’être né sur la Canebière, le Tricolore a par le passé ouvert la porte à un transfert à l’Olympique de Marseille et chambré le PSG lors du sacre en Ligue des Champions avec les Bavarois. «Tu n'es pas le bienvenu, le Marseillais… et on te le fera savoir», avait ainsi lancé le président du Collectif Ultras Paris, Romain Mabille, dans ce contexte. Une polémique la recrue a tenté d’enterrer.

«Paris ou Marseille ?», lui a demandé la présentatrice Ambre Godillon. «Ici c’est Paris !», a clamé Hernandez en guise de réponse, sourire aux lèvres. «J'ai hâte de vous voir au Parc des Princes. Ciao les amis !» Une manière comme une autre de tenter de calmer le jeu, en attendant de tenter de séduire le public parisien sur le terrain.

Romain Lantheaume
Au fond, je ne sais pas si ce que je préfère c’est le foot ou l’écriture. Une chose est sûre, je n’imagine pas l’un sans l’autre ! Mon cœur penche pour l’OGC Nice mais rien ne me fait autant vibrer que le foot africain.