Mercato - PSG : Dembélé est rentré à Barcelone !
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Douche froide dans le dossier Ousmane Dembélé… Après s’être envolé pour Paris jeudi dernier afin de finaliser son arrivée au Paris Saint-Germain, l’ailier de 26 ans a été contraint de rentrer à Barcelone ce dimanche.
La vidéo de son retour en Catalogne fait les choux gras de la presse locale. Cette scène a évidemment de quoi interroger. En réalité, l’international français ne fait que répondre à la requête de son club, qui l’a convoqué pour participer à l’entraînement. En effet, même s’il a notifié le Barça dans les temps, le 31 juillet, de son intention d’activer sa clause libératoire de 50 millions d’euros cet été, Dembélé est toujours sous contrat avec le champion d’Espagne en titre. Déçus par la tournure des événements, les Blaugrana prennent un malin plaisir à retarder le départ de l’ancien Rennais, qu’ils rêvent même d’envoyer en Arabie Saoudite au nez et à la barbe des Parisiens.
La imagen exclusiva de la llegada de Dembélé a la ciudad condal acompañado de su mejor amigo
Pulso Barça – PSG#fcblive pic.twitter.com/obBZbuGled
— Víctor Navarro (@victor_nahe) August 6, 2023
Jusqu'au 21 août ?
Dans cette optique, le club catalan fait le mort et a visiblement décidé de ne pas répondre pour l’instant au PSG, qui lui demande différents documents pour boucler la transaction et pouvoir finaliser au plus vite l’arrivée de Dembélé. Ce « petit jeu » pourrait durer encore un moment… D’après le journal Mundo Deportivo, le Barça peut en effet légalement « retenir » Dembélé jusqu’au 21 août. Le but recherché – embêter le PSG – est évidemment atteint puisque ce sont autant de jours de perdus par le joueur pour s’acclimater à sa nouvelle équipe et effectuer ses débuts.
Pour l’heure, le natif de Vernon a toutefois décidé de se montrer irréprochable et fait tout pour respecter les obligations imposées par son employeur en veillant à ne pas se mettre à la faute. Reste à savoir quelle serait sa position si ce feuilleton venait à s’éterniser. A noter que le Barça essaie aussi par ce biais-là de mettre la pression sur lui en réclamant une répartition plus avantageuse pour le club du montant de sa clause libératoire (50% pour chaque partie à l’heure actuelle).