Mercato - Payet aurait choisi sa prochaine destination !

Libéré par l'Olympique de Marseille, Dimitri Payet ne manque pas de courtisans. Le Réunionnais aurait tranché et serait proche de rejoindre une destination exotique.

Le milieu offensif l'avait déclaré lors de la conférence de presse organisé par le club pour annoncer son départ : il ne souhaite pas mettre un terme à sa carrière. De ses propres mots, Dimitri Payet souhaite encore “donner du plaisir” : “J'ai envie de jouer, de retrouver du plaisir sur le terrain, tout simplement. Le club m'a proposé, si j'arrêtais aujourd'hui, une reconversion. Mais j'ai encore du ballon et du plaisir à donner“, avait-il notamment expliqué.

Rapidement, de nombreux clubs se sont positionnés, dont le Stade Rennais et surtout le FC Nantes, dont Payet a porté les couleurs entre 2004 et 2007, mais le joueur de 36 ans ne se voyait pas enfiler la tunique d'un autre club de Ligue 1. Ce dernier privilégie donc l'étranger, où plusieurs écuries lui font les yeux doux.

Direction le Brésil pour Payet ?

Ce samedi, le toujours bien informé Fabrizio Romano fait le point sur la situation et affirme qu'une piste se dégage : celle menant au Vasco de Gama. Selon l'insider, le club brésilien a soumis une “énorme proposition” à Payet pour le convaincre de traverser l'Atlantique. Les négociations seraient actuellement en cours entre les deux parties et les dirigeants auriverde seraient “confiants” quant à la possibilité de signer le désormais ex-olympien.

Ces dernières semaines, plusieurs rumeurs faisaient état de touches en Turquie et en Arabie saoudite pour l'ancien de West Ham, mais c'est désormais Vasco de Gama qui serait en pôle pour s'attacher ses services. Une chose est sûre, Dimitri Payet va quitter la France.

Après avoir porté le maillot du FC Nantes, de Saint-Étienne, du LOSC et de l'Olympique de Marseille, le Réunionnais va ouvrir un nouveau chapitre de sa carrière. À l'OM, il a disputé pas moins de 326 rencontres.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.