OM : Clauss cash sur l’état physique du groupe

Trois jours après avoir subi la loi du Panathinaïkos, l’Olympique de Marseille est parvenu à redresser la barre en Ligue 1, face au Stade de Reims (2-1).

Après une prestation très décevante lors du troisième tour préliminaire de Ligue des Champions, l’OM se devait de réagir en championnat, dans un stade Vélodrome à guichets fermés pour la 22ème fois consécutive. C’est chose faite puisque les hommes de Marcelino sont parvenus à renverser la situation après avoir concédé l’ouverture du score d’entrée de match.

Après la rencontre, Jonathan Clauss a livré son analyse de la rencontre en zone mixte : “On a mis un peu de temps à démarrer et puis ce but d’Azzedine qui nous fait vraiment du bien parce qu’il nous remet dans le droit chemin, explique le latéral droit. En deuxième mi-temps, on savait qu’on avait des coups à jouer. Je pense qu’on est venu avec un peu plus d’envie au niveau du bloc et ça s’est vu. On a joué plus haut, ce qui nous a permis de récupérer des ballons plus haut et d’être beaucoup plus dangereux.

“Le travail de récupération a été très bon”

Au cœur d’un mois d’août très chargé, les Olympiens n’ont pas vraiment le temps de monter en puissance et les organismes sont déjà mis à rude épreuve. Pour autant, l’ancien Lensois affirme que les joueurs se sentaient bien physiquement : “On se sentait mieux que mercredi. On avait beaucoup parlé de fatigue, de l’enchainement des matchs, mais là je nous ai trouvés bien en forme. Le travail de récupération a été très bon.

Pour le Français, l’OM est en train de monter en puissance : “C’était le moment pour tout le monde de trouver ses repères, comme le jeune François-Régis Mughe qui démarre dans un match comme ça. On commence à voir des choses intéressantes dans les automatismes et les placements“, conclut l’Alsacien.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.