OM : Correa prévient Marcelino

Dernière recrue en date de l'Olympique de Marseille, Joaquin Correa a accordé une interview au média du club. L'Argentin a été prêté avec option d'achat par l'Inter Milan.

Tout comme Alexis Sanchez l'été dernier, Joaquin Correa débarque de l'Inter pour tenter de se relancer dans la cité phocéenne. Pour s'attacher ses services, les Olympiens ont déboursé 2 millions d'euros pour un prêt payant et disposent d'une option d'achat obligatoire de 10 millions d'euros en cas de qualification pour la prochaine Ligue des Champions.

De son côté, l'international argentin semble en tout cas persuadé de pouvoir apporter ses qualités à l'équipe marseillaise : “Je pense que je peux beaucoup apporter. Je suis un joueur qui peut faire la différence. Je pense être bon dans ce domaine. Je veux montrer rapidement de quoi je suis capable ainsi que mon ambition cette année. Pour moi, il sera important de se battre pour le haut du tableau et de remplir des objectifs majeurs.” Marcelino est prévenu.

“Hâte d'être au Vélodrome et de sentir la chaleur”

Comme bon nombre de ses prédécesseurs, le joueur de 29 ans est impressionné par ce qu'il a pu voir du stade Vélodrome et s'est montré impatient à l'idée d'y disputer son premier match : “J’ai vu beaucoup de vidéos. J’ai demandé à des gens de m’en parler. Il est très beau le Vélodrome. J’ai hâte d’y être et sentir la chaleur de ce stade. Nous allons essayer d’être tous ensemble pour suivre le même chemin. Si nous avons confiance en nous, je pense que nous pouvons réaliser une grande saison tous ensemble : supporters, joueurs, et l’ensemble des dirigeants.

Enfin, l'ancien de la Lazio n'a pas caché ses ambitions, lui qui espère marcher dans les traces de certains de ses compatriotes ayant été titrés avec l'OM : “Je sais que des Argentins ont gagné des titres ici. Ce serait magnifique de marcher sur leurs traces et de gagner un titre avec ce club si important.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.