Après deux saisons au Paris Saint-Germain, Sergio Ramos (37 ans) va finalement terminer sa carrière dans son club formateur : le FC Séville.
Libre depuis la fin de son contrat dans la capitale française en juin dernier, l'ancien international espagnol a choisi de s'engager en faveur du club andalou, probablement jusqu'à la fin de la saison dans un premier temps. Ces dernières semaines, plusieurs clubs turcs dont le Besiktas Istanbul et Galatasaray ont tenté d'attirer Sergio Ramos au même titre qu’Al-Ittihad (Arabie saoudite) mais l'ancien défenseur emblématique du Real Madrid n'a pas été spécialement emballé par ces destinations.
⚪🔴 Ramos ya está en Sevilla: "Era una deuda con mi abuelo, con mi padre, con el sevillismo y con Puerta"https://t.co/3qUcIaiCpP
— MARCA (@marca) September 4, 2023
Une arrivée en rock star à Séville
Le défenseur espagnol a atterri ce lundi à Séville juste avant la signature de son contrat. Dix-huit ans après son départ pour le club merengue, ce dernier a été accueilli par de nombreux fans à l'aéroport. “C’est un jour spécial, le retour à la maison est toujours un jour spécial. Maintenant, nous devons faire les tests médicaux. Cela fait quelques mois que j’attends cela avec impatience, mais je suis heureux d’être de retour et prêt à commencer dès que possible”, a lâché Ramos devant les médias venus l'accueillir.
Promesse tenue pour Ramos
Harcelé de questions, l'ancien Parisien a ensuite promis de se livrer un peu plus profondément très prochainement. Une chose est sûre, ce retour en Andalousie a forcément une saveur particulière pour plusieurs raisons. “Nous aurons le temps de faire la conférence de presse et la présentation. C’était une dette envers mon père, mon grand-père, le Sévillismo. Je pense qu’il était temps”, a-t-il assuré. Sauf rebondissement de dernière minute lors de la visite médicale, Ramos évoluera bel et bien sous les couleurs du FC Séville en 2023-24. Selon la presse espagnole, le principal intéressé aurait pu gagner un salaire vingt fois supérieur en Arabie saoudite. Mais le cœur a parfois ses raisons que la raison ignore…
