Mercato - Sergio Ramos retrouve un club !

Libre de tout contrat depuis son départ du Paris Saint-Germain, Sergio Ramos était toujours sur le marché au moment de la fermeture du mercato dans les cinq grands championnats.

À 37 ans, et après deux saisons en France, Sergio Ramos veut s'offrir un dernier challenge avant de raccrocher les crampons. Sa volonté première était d'effectuer son retour au FC Séville, le club dans lequel il a été formé qui lui a permis d'exploser au plus haut niveau. Cependant, les Andalous ont rapidement douché ses espoirs dès le mois de juillet : “Sergio Ramos n’est pas une option pour Séville en ce moment. J’ai une bonne relation avec René, son frère. C’est un joueur magnifique, issu de notre formation, mais il n’y a rien entre lui et Séville”, avait déclaré le vice-président sévillan José María del Nido Carrasco.

Rembarré aussi par un club mexicain

Son nom a ensuite été associé à l'Arabie saoudite, en MLS, mais également au Mexique, à l'América, mais le club a également été contraint de mettre un frein à son arrivée, en raison de ses prétentions salariales : “J'ai eu la chance de rencontrer son frère, qui est son représentant, dans une conversation personnelle. Le sujet a été abordé et, évidemment, les paramètres salariaux de Sergio n'ont rien à voir avec ce qui peut être payé ici au Mexique“, expliqué, de son côté, le président du club.

Ces derniers jours, Besiktas et Galatasaray avaient fait part de leur intérêt et Al-Ettifaq, le club de Karim Benzema et N'Golo Kanté avait passé la seconde pour faire signer l'ancien capitaine de la Roja, mais finalement Sergio Ramos a fini par convaincre les dirigeants du FC Séville ! En effet, plusieurs médias, dont Relevo, annoncent que le défenseur central a trouvé un accord avec le vainqueur de la dernière Europa League, qui a finalement décidé de se positionner sur le dossier.

18 ans après, Sergio Ramos va donc faire son grand retour au FC Séville.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.