PSG : un joueur pointé du doigt en interne

Avec deux défaites et un nul lors des six derniers matchs, le Paris Saint-Germain continue de tâtonner en ce début de saison.

Le champion de France en titre n’a pas encore trouvé son rythme de croisière sous la houlette de Luis Enrique. Après avoir réalisé un début de saison relativement intéressant sur le plan du jeu, le PSG est quelque peu retombé dans ses travers avec un triste nul à Clermont (0-0) avant de chuter lourdement face à Newcastle en Ligue des Champions.

Le point positif par rapport aux années précédentes réside dans la solidarité au sein du vestiaire. Après s’être délesté de certains gros égos comme Lionel Messi, Neymar, Marco Verratti ou encore Sergio Ramos, plusieurs sources rapportent que l’unité règne au sein du vestiaire. Un joueur serait malgré tout un peu à l’écart : Hugo Ekitike.

Un départ lors du mercato hivernal ?

Depuis qu’il a refusé de quitter la capitale pour rejoindre Francfort dans l’échange initialement prévu avec Randal Kolo Muani, l’attaquant est mis sur la touche et n’a pas disputé la moindre minute. D’après les informations de RMC, son attitude serait pointée du doigt en interne, certaines personnes l’accusant de se complaire dans cette situation, alors même que ses prestations à l’entraînement demeurent encourageantes, rapporte le média.

On lui reprocherait notamment de “ne pas montrer une certaine frustration face à la situation“. Des révélations étonnantes dans la mesure où c’est bien le Paris Saint-Germain qui est à l’origine de sa mise à l’écart.

Il semble difficile d’envisager qu’Hugo Ekitike fasse toute la saison dans ces conditions. Un départ lors du mercato hivernal serait sans doute une bonne chose pour toutes les parties. Comme l’explique RMC, l’ancien joueur du Stade de Reims est toujours courtisé en Premier League, en Serie A (Milan AC), mais également en Bundesliga. Pour rappel, le PSG avait investi près de 40 millions d’euros pour s’attacher ses services à l’été 2022.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.