PSG : “Je voulais juste…”, Mbappé se livre sur sa mise à l’écart durant l’été !

Malmené sur la pelouse du Stade de Reims samedi après-midi, le Paris Saint-Germain s'est notamment appuyé sur le talent de Kylian Mbappé, mais également de Gigio Donnarumma, pour s'imposer en Champagne (0-3).

Le score est très flatteur pour le PSG. Bousculé par une solide équipe de Reims, le champion de France en titre s'en est remis au génie de Kylian Mbappé, auteur d'un triplé, et à la main (très) ferme de son portier Gianluigi Donnarumma, qui a réalisé plusieurs parades de grande classe pour permettre aux siens de conserver le résultat.

Fait rare, le capitaine de l'équipe de France était de passage au micro de Prime Video après la rencontre. Ce dernier a expliqué avoir tourné la page de la défaite à San Siro en milieu de semaine : “C'était une compétition différente. Tout ce qu'on voulait, c'était gagner. Nice a fait match nul, on voulait prendre la tête, c'est chose faite, on est content. On aura le temps de penser à la Ligue des champions, mais la Ligue 1, c'est une autre compétition, un autre état d'esprit, une autre manière de jouer“, a-t-il confié.

“Je n'ai pas besoin de bien jouer pour marquer”

Et le Bondynois de poursuivre : “Bien sûr ça fait du bien de marquer un triplé, concède l'attaquant. Mais le plus important, c'est d'avoir de bonnes sensations dans le jeu. En toute humilité, je n'ai pas besoin de bien jouer pour marquer. Mais ce que je veux, c'est bien jouer ET marquer. C'est mon objectif de toujours essayer d'aider mon équipe du mieux possible, sur le terrain, dans le jeu et sur la feuille de match.

Enfin, il a également évoqué son été agité, mis à l'écart par ses dirigeants en raison de son choix de ne pas prolonger son contrat jusqu'en 2025 : “Le plus important, ce que je voulais, c'était jouer au foot. Le reste, je vous laisse faire, vous le faites bien. Je n'ai pas envie de parler pour suralimenter des choses. Je pense qu'il y a déjà assez.” Il faudra s'en contenter.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.