PSG : “c’est triste, mais…”, la réaction surprenante de Luis Enrique sur les blessures !

Avant son match capital face à Newcastle en milieu de semaine, le Paris Saint-Germain sera aux prises avec l'AS Monaco en ouverture de la 13ème journée de Ligue 1 vendredi soir.

L'équipe parisienne ne compte évidemment pas prendre ce duel face au 3ème de Ligue 1 à la légère, une équipe que Luis Enrique semble d'ailleurs apprécier tout particulièrement : “Monaco est une équipe qui me plait beaucoup, elle ne calcule pas, ne pense pas au résultat, avec un pressing haut, analyse le manager espagnol. Ils ont toujours un bon niveau. C'est l'équipe qui génère le plus d'occasions derrière nous. Ils devraient avoir plus de points.” S'il estime que c'est “important de gagner car Monaco est un rival direct“, l'ex-entraîneur du FC Barcelone ne juge pas ce match comme spécialement décisif.

Pour cette rencontre, comme pour l'opposition face à Newcastle d'ailleurs, Luis Enrique sera privé de Marquinhos et de Warren Zaïre-Emery, respectivement pour 10 jours et un mois. Interrogé sur l'absence de ses deux tauliers, le coach du PSG a préféré mettre en avant la profondeur de son effectif.

“L'équipe à des ressources suffisantes”

J'ai le meilleur effectif du championnat, affirme-t-il. Quand tu as un blessé, c'est un moment triste. Mais l'effectif est large, avec un excellent niveau. Le calendrier surchargé ? C'est une polémique dans laquelle je ne veux pas entrer. Le calendrier est comme qu'il est. Je fais mon travail comme entraîneur, je contrôle ce que je peux contrôler. L'équipe a des ressources suffisantes. C'est le calendrier, des gens ont décidé qu'il serait ainsi. Je m'adapte. J'espère que tous les blessés récupéreront le plus vite possible.

En revanche, l'entraîneur francilien pourra compter sur les retours dans le groupe de Danilo et Marco Asensio. Ces derniers pourraient être utilisés dès vendredi si l'on en croit les déclarations de Luis Enrique : “Quand tu reviens dans le groupe tu peux jouer. Ils sont à disposition.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.