Un ex-star de l’OM envisage d’entraîner le club !

Pour la dernière rencontre de l'année à domicile de l'Olympique de Marseille, plusieurs anciennes gloires du club étaient présentes en tribune pour assister à la victoire face à Clermont (2-1).

L'une d'entre elles a même été particulièrement en vue puisque Lucho Gonzalez, champion de France avec l'OM en 2010 sous les ordres de Didier Deschamps a donné le coup d'envoi de la rencontre face aux Auvergnats. Un duel remporté par les Olympiens, qui ont ainsi signé un quatrième succès consécutif en Ligue 1 par la même occasion.

Après la rencontre, “El Commandante” s'est même présenté en zone mixte pour répondre à quelques questions. L'Argentin a notamment évoqué la performance de l'OM lors de ce duel de la 16ème journée. “Je trouve que Marseille a dominé Clermont en première période, a jugé l'ex-milieu de terrain. Ils ont beaucoup de qualité balle au pied et ont marqué un beau but. Aubameyang a délivré un vrai caviarL’OM est une grosse équipe et on espère qu’ils continueront à gagner.

“Entraîner Marseille ? Un jour, j’y pense, oui”

Désormais adjoint dans le club brésilien de Porto Alegre, Lucho Gonzalez ne serait pas contre débarquer sur le banc marseillais dans le futur. “Ce que je fais aujourd’hui ? Je suis adjoint à Porto Alegre et on fait un gros travail là-bas. Entraîner Marseille ? Un jour, j’y pense, oui.” Au rythme où se succèdent les entraîneurs dans la cité phocéenne, l'Argentin pourrait bientôt avoir sa chance dans son ancien club.

Il en a également profité pour rendre hommage à son compatriote Leonardo Balerdi, qu'il considère même comme “le nouveau Diawara“. “C'est un grand joueur, avec beaucoup de futur, un international. C'est le patron de la défense“, a-t-il lancé à propos du jeune défenseur.

Pour terminer la phase aller de la meilleure des façons, les joueurs de Gennaro Gattuso tenteront de prendre les trois points sur la pelouse de Montpellier mercredi soir.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.