PSG : “Il a tout pour plaire”, Luis Enrique encense l’un de ses hommes

Alors que le Paris Saint-Germain reste sur deux matchs nuls consécutifs, les joueurs de Luis Enrique accueillent le FC Metz ce mercredi soir pour clôturer la phase aller du championnat de France.

Après avoir obtenu sa qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions sur la pelouse du Borussia Dortmund, le champion de France en titre a hérité de la Real Sociedad. Un tirage qui a, semble-t-il, ravi Luis Enrique, qui pourra faire son retour en Espagne. “La Real Sociedad est une équipe qu'on connaît très bien, je connais beaucoup de joueurs qui étaient en sélection avec moi, on connaît très bien leur entraîneur, leurs supporters, la ville…” expliquait-il en conférence de presse.

Mais cette double confrontation est encore loin dans le calendrier et le PSG essaiera d'abord de terminer l'année sur une note positive face au FC Metz. Pour ce duel, Ousmane Dembélé a été contraint de déclarer forfait et l'entraîneur parisien pourrait être tenté de faire débuter Kang-In Lee. Un profil qui plaît particulièrement au coach espagnol.

“Il se sacrifie pour l'équipe”

C’est un joueur de classe, très méconnu pour ceux qui ne regardaient pas la Liga, a jugé Luis Enrique en conférence de presse. En Corée du Sud, c’est une superstar. Pour nous, c’est un joueur très important. Il a joué ailier droit, ailier gauche, il peut aussi jouer au milieu, parfois en faux neuf. Il a des capacités techniques top, il a beaucoup de capacités défensives, il se sacrifie pour l’équipe. C’est formidable d’avoir un tel joueur pour l’équipe. Il est drôle et sympa, il a tout pour plaire.

Depuis sous arrivée dans la capitaine, l'ancien joueur de Majorque a disputé 14 rencontres toutes compétitions confondues avec le PSG, dont 11 en tant que titulaire, pour 2 buts et une passe décisive. À l'image d'une bonne partie de ses partenaires, le Sud-Coréen doit progresser sur sa finition pour passer un nouveau cap.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.