Mercato - Monaco en négociations avec une révélation de Ligue 1

Sur le podium de Ligue 1 derrière le Paris Saint-Germain et l'OGC Nice, l'AS Monaco a réalisé une bonne première moitié de saison. L'ASM ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et va se renforcer lors du mercato hivernal.

La bataille pour les places européennes s'annonce particulièrement serrée lors de la deuxième partie de saison et notamment celle pour la Ligue des Champions puisque, on le rappelle, les trois premiers seront directement qualifiés pour la phase de groupe de la compétition, alors que le quatrième du championnat disputera les barrages. À mi-parcours, c'est l'AS Monaco qui verrait la C1, alors que le surprenant Stade Brestois passerait par un tour préliminaire.

La CAN arrivant à grands pas, les clubs impactés vont compenser ses départs durant la prochaine fenêtre des transferts. C'est le cas de l'AS Monaco qui souhaite renforcer son arrière-garde et regarde du côté de… Brest.

L'Atalanta, Sassuolo et Bruges également sur le coup

Révélations de la saison jusqu'à présent, les Bretons commencent à attirer les regards et selon les informations de Foot Mercato, Monaco voudrait s'attacher les services du défenseur Lilian Brassier. Titulaire sous les ordres d'Éric Roy, le joueur de 24 ans est l'auteur d'une saison très solide chez le quatrième de Ligue 1.

Selon le média, les deux clubs négocient actuellement pour un transfert et pourraient tomber d'accord pour une somme comprise entre 8 et 10 millions d'euros. Plusieurs écuries européennes sont également sur les rangs comme l'Atalanta Bergame, Sassuolo ou encore Bruges, mais la formation d'Adi Hutter dispose d'une longueur d'avance.

Cette arrivée permettrait notamment de combler les départs de Mohammed Salisu (Ghana) et Wilfried Singo (Côte d’Ivoire) pour la Coupe d'Afrique des Nations. De son côté, le Stade Brestois devra faire attention de ne pas trop s'affaiblir cet hiver, au risque de “gâcher” leur superbe première moitié de saison.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.