PSG : Hakimi absent, le gros coup de gueule d’Enrique !
/https%3A%2F%2Fwww.topmercato.com%2Fapp%2Fuploads%2F2024%2F01%2FLuis-Enrique-PSG-Paris-Saint-Germain.jpg)
Malgré la victoire des siens à Lens, dimanche, Luis Enrique était très remonté au micro du diffuseur Prime Video.
Luis Enrique avait le masque après le succès du Paris Saint-Germain à Lens (2-0), dimanche soir, dans cette rencontre venue conclure de la 18e journée de Ligue 1. Non pas que l'entraîneur espagnol a eu à redire de la performance des partenaires de Kylian Mbappé. Interviewé dès le coup de sifflet final par le diffuseur Prime Video, l'ancien coach du FC Barcelone a allumé un journaliste sur un autre sujet.
Questionné sur l'absence du défenseur marocain Achraf Hakimi, parti disputer la Coupe d'Afrique des Nations 2024 en Côte d'Ivoire avec les Lions de l'Atlas, le successeur sur le banc de Christophe Galtier a été invité à dire si l'ancien sociétaire de l'Inter Milan lui manquait. Luis Enrique a fait la moue et déclaré qu'il disposait d'un effectif de qualité amené à compenser facilement l'indisponibilité temporaire de son habituel piston droit.
“Pourquoi est-ce que je vais me plaindre de ça ?”
“Pourquoi ? Lee n'est pas bon ? Nuno Mendes non ? Skriniar non plus ? Je ne sais pas pourquoi vous me demandez ça. J'ai la responsabilité de tirer le meilleur de mes joueurs, de ceux que j'ai. Hakimi fait partie des meilleurs défenseurs droits du monde. Il a joué de très, très bons matchs. Il joue avec sa sélection. Pourquoi est-ce que je vais me plaindre de ça ? C'est un joueur clé, bien sûr, mais il n'est pas là. Je dois être optimiste avec ceux qui sont là. C'est mon rôle de tirer le meilleur d'eux.”
🎙️ @ThibaultLeRol : "Hakimi vous a-t-il manqué aujourd'hui ?"
– Luis Enrique : "Pourquoi ? Lee n'est pas bon ? Nuno Mendes non ? Skriniar non plus ? 😳#RCLPSG pic.twitter.com/PYP8Run7fO
— Prime Video Sport France (@PVSportFR) January 14, 2024
Pour pallier à l'absence d'Achraf Hakimi, le Paris Saint-Germain avait décidé de brouiller les pistes. “La majorité du temps, c'était Warren (Zaïre-Emery), ensuite il y a eu Carlos (Soler). Il ne fallait pas donner une idée de référence à l'adversaire. On a pu contrôler le match parce qu'ils ne savaient pas. Ils avaient de l'incertitude.” Pari gagnant !