OM : deux cadres finalement forfaits contre Metz ?

Gennaro Gattuso espérait récupérer deux tauliers pour la réception du FC Metz en ouverture de la 21ème journée vendredi soir. La tendance serait davantage à un forfait à 24 heures de la rencontre.

Battu au Groupama Stadium dimanche au terme d'un match particulièrement décevant, l'Olympique de Marseille va devoir réagir face au FC Metz vendredi, sous peine de voir la gronde des supporters grandir encore un peu plus. “On a beaucoup parlé d'engagement et d'intensité et l'on n'a rien vu de ça dimanche à Lyon. Tout le monde doit prendre ses responsabilités et envoyer des messages. Le premier, c'est l'unité. Le second, c'est de donner quelque chose de plus. Cette semaine est importante, car on peut encore faire de belles choses cette saison. Mais il faut que tout le monde aille dans la même direction“, a prévenu Pablo Longoria en conférence de presse mercredi.

Un nouveau faux pas est donc interdit contre les Grenats, qui restent sur sept défaites consécutives en Ligue 1. Pour cette affiche, Gennaro Gattuso devra une nouvelle fois composer avec un effectif amoindri.

Encore du bricolage au milieu de terrain

En plus de Valentin Rongier et Bilal Nadir, Amir Murillo souffre toujours des adducteurs et sera absent pour cette rencontre. Mais alors que Geoffrey Kondogbia et Jordan Veretout devaient initialement tenir leur rang, L'Équipe a corrigé son information de la veille en expliquant que les deux milieux de terrain seront finalement trop justes.

Les deux joueurs sont touchés musculairement, au niveau du quadriceps pour l'ancien de la Roma. Gennaro Gattuso n'aura donc pas d'autre choix que de reconduire le même milieu qu'à Lyon, composé de Jean Onana, Azzedine Ounahi et Amine Harit.

Malgré son élimination en demi-finale de la CAN avec le Congo mercredi, Chancel Mbemba ne sera pas dans le groupe pour cette rencontre. Le défenseur devrait en revanche être présent pour affronter le Shakhtar en barrage d'Europa League jeudi prochain.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.