PSG : “un bon prix”, la sortie très osée de Kolo Muani sur son transfert !

Décevant depuis sa signature pour 90 millions d'euros au Paris Saint-Germain cet été, Randal Kolo Muani n'est pas un titulaire indiscutable dans l'esprit de Luis Enrique. Chez nos confrères de Onze Mondial, l'attaquant français est revenu sur les critiques dont il fait régulièrement l'objet.

Censé être un joueur majeur du PSG, Randal Kolo Muani peine à digérer son transfert pour l'instant. Malgré des statistiques honorables (8 buts et 3 passes décisives toutes compétitions confondues en 23 matchs), les prestations et l'impression laissée par le joueur de 25 ans sont insuffisantes pour l'instant. Sans lui, le champion de France en titre parvient, sans surprise, a fait le boulot en Ligue 1, mais un RKM a son meilleur niveau serait un vrai plus pour le club francilien en Ligue des Champions.

Son adaptation prend plus de temps que prévu et les critiques n'ont pas tardé à pleuvoir sur l'international français, notamment en raison du montant investi par le PSG pour le faire venir en provenance de Francfort. Interviewé par Onze Mondial, Kolo Muani a concédé que ce transfert était difficile à digérer… pour l'instant.

“Les gens diront que c’était un bon prix pour Randal Kolo Muani”

Concernant le prix du transfert, il est important. Personnellement, il est dur à digérer, a confié le héros malheureux de la finale de la Coupe du monde 2022. Je vais te faire une confidence : avec le temps, les gens diront que c’était un bon prix pour Randal Kolo Muani. Je sais qu’en ce moment les gens disent: '90 millions pour Kolo Muani, c’est quoi ça ?'. Moi je dis : ‘Ils verront', tout simplement.

L'attaquant du PSG semble conserver une grande confiance en lui malgré des prestations compliquées. Absent face au Stade Brestois en milieu de semaine, Kolo Muani pourrait retrouver le onze de départ face au LOSC samedi soir si Kylian Mbappé venait à être ménager en vue du match aller face à la Real Sociedad.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.