Au contraire de ce qu’on pourrait croire, Erling Haaland n’est pas le joueur le mieux payé de Manchester City. Le Norvégien pourrait toutefois bientôt signer un nouveau contrat.
Arrivé en juillet 2022 dans le cadre d’un transfert de 60 millions d’euros, Erling Haaland a crevé les écrans en Premier League. L’attaquant a marqué 81 buts et délivré 15 passes décisives en 87 apparitions, toutes compétitions confondues. Il a largement contribué à l’obtention du doublé, la saison passée. Mais l’ancien joueur du Borussia Dortmund ne bénéficie pas pour autant du plus gros salaire du vestiaire des Skyblues.
D’après les renseignements recueillis par L’Équipe, Erling Haaland perçoit un salaire de 1,9 millions d’euros bruts par mois, chez les Citizens. Kevin De Bruyne touche davantage avec 2,02 millions d’euros par mois. Une différence qui peine à s’expliquer et qui justifie certainement que Manchester City prépare un nouveau contrat assorti d’une augmentation pour l’attaquant.
Mbappé loin devant en termes de salaire
Le média croit savoir que le joueur pourrait bientôt être rétribué à hauteur de 2,5 millions d’euros par mois, ce qui ferait de lui l’élément le mieux payé de Premier League. Il indique également que Rafaela Pimenta, l’agente d’Haaland, risque d’exiger à nouveau l’insertion d’une clause de départ pour chaque été, ce qui permettrait à l’attaquant de rester maître de son avenir.
Ces derniers mois, Erling Haaland est resté vague sur son avenir. Le Norvégien n’a pas écarté la possibilité d’un départ. Les médias espagnols l’ont très régulièrement associé au Real Madrid, où Florentino Perez envisagerait de l’associer à Kylian Mbappé, qui devrait lui-même rejoindre l’effectif merengue en juillet prochain.
Pour rappel, l’écart de salaire entre les deux stars est pour l’instant abyssal. Le salaire de Kylian Mbappé est actuellement estimé à 6 millions d’euros bruts par mois au PSG. Mais l’enfant de Bondy devrait percevoir beaucoup moins à Madrid (avec une prime à la signature de 120 millions d’euros, et un pourcentage élevé sur ses droits à l’image).