Mercato - OM : Mbemba jette un froid sur son avenir !

Taulier de l’Olympique de Marseille depuis deux saisons, Chancel Mbemba est lié avec le club phocéen jusqu’en 2025. De passage en conférence de presse en marge de la réception de Lorient, l’international congolais a évoqué son futur en Provence.

Deuxième défenseur le plus prolifique de l’histoire de l’OM, Chancel Mbemba a encore montré sa capacité à se montrer décisif lors de la demi-finale aller d’Europa League face à l’Atalanta Bergame. Un but qui n’a malheureusement pas suffi pour décrocher le ticket pour la finale à Dublin.  Les joueurs de Jean-Louis Gasset doivent désormais se remettre la tête à l’endroit pour tenter de terminer la saison au mieux.

En coulisses, les dirigeants préparent en parallèle la campagne 2024-2025. Pablo Longoria et Mehdi Benatia font notamment le forcing pour attirer Paulo Fonseca sur le banc olympien. L’état-major marseillais va également faire des choix concernant l’effectif, qui a déçu dans les grandes largeurs cette année. Le cas de Chancel Mbemba sera sans doute étudié également, lui qui arrive en fin de contrat en 2025 avec l’OM.

“Demain, je ne sais pas ce qu’il va arriver”

Interrogé sur sa présence la saison prochaine, le défenseur central a laissé planer le doute. “Pour le moment, je suis là. Demain, je ne sais pas ce qu'il va arriver, a expliqué le capitaine des Leopards. C'est Dieu lui-même qui sait. Mais j'ai un contrat ici jusqu'en 2025. Je suis là.

L’ancien joueur du FC Porto a tenté de remobiliser les troupes avant la réception de Lorient ce dimanche. “Nous ne baisserons pas les bras. Cela fait mal, mais nous n'allons pas rester là, a-t-il assuré. Il reste encore trois matchs devant nous, et c'est très important pour nous, les joueurs, ainsi que pour les supporters Marseillais. Il fallait donner le meilleur de nous-mêmes.

Un succès face à Lorient ainsi qu’à Reims et au Havre permettrait à l’OM de finir à la 7ème, voire à la 6ème en cas de faux pas du RC Lens.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.