Dans le sens des arrivées comme des départs, l'Olympique de Marseille s'impose comme l'un des grands animateurs de ce mercato d'été en Ligue 1.

Lundi soir, le club phocéen a officialisé l'arrivée de Pierre-Emile Højbjerg, qui représente sa 4e recrue. Mais l'OM ne va évidemment pas s'arrêter là. En effet, un attaquant est toujours recherché pour compenser le départ de Pierre-Emerick Aubameyang et, si Eddie Nketiah représente la piste la plus chaude, les dossiers menant au Chilien Alexis Sanchez (libre) et au Sud-Coréen Hwang Hee-chan (Wolverhampton) restent ouverts. Cependant, comme L'Equipe l'explique ce mardi, avec l'arrivée de Mason Greenwood, qui s'ajoute à Luis Henrique et Amir Murillo, déjà présents dans le groupe, l'OM dispose désormais de seulement une place restante de joueurs extracommunautaires sur les quatre autorisées dans son effectif.

Le couloir droit dépeuplé ?

Selon le journal sportif, les dirigeants olympiens sont donc de plus en plus tentés de sacrifier un joueur de l'effectif actuel afin d'avoir les coudées franches dans leur recrutement. Et si Henrique a longtemps fait office de favori au départ, la même source indique que le board songe désormais à sacrifier… Murillo ! Si l'OM a démenti avoir donné un mandat à des agents pour tenter de trouver un nouveau point de chute au Panaméen, nos confrères sont formels et assurent que son départ est bel et bien une option envisagée.

Arrivé l'été dernier, le latéral droit de 28 ans sort d'une première saison correcte en Provence (25 matchs joués et 3 buts marqués toutes compétitions confondues), il est sous contrat jusqu'en juin 2026 et son départ ne semblait pas à l'ordre du jour jusqu'à ce que cette problématique de réglement ne rebatte les cartes… Alors que Jonathan Clauss est sur le point de rejoindre Nice, Murillo semblait tout indiqué pour récupérer le poste de titulaire dans ce couloir droit. Finalement, il n'est pas exclu de le voir parti. Selon la même source, Roberto De Zerbi miserait alors sur Pol Lirola, relancé durant cette préparation, voire Bamo Meïté. Du moins, imagine-t-on, pour commencer la saison…