OM : un lofteur va être réintégré !

Alors que le mercato a fermé ses portes depuis le 30 août dernier, l'Olympique de Marseille se retrouve avec encore plusieurs lofteurs sur les bras. L'un d'entre eux pourrait cependant être réintégré au groupe de Roberto De Zerbi pendant la trêve internationale.

Durant l'intersaison, l'OM s'est montré intraitable avec les joueurs identifiés comme indésirables. Lors de la grande lessive lancée par la direction, Pau Lopez, Samuel Gigot, Azzedine Ounahi, Jordan Veretout, Chancel Mbemba et Ulisses Garcia ont ainsi été envoyés dans le loft. La raison principale ? Alléger la masse salariale et exfiltrer les joueurs n'ayant plus qu'un an de contrat. Si les quatre premiers de la liste ont trouvé preneur ou sont sur le point de le faire, Mbemba et Garcia sont toujours au club au moment où la quasi-totalité des championnats a fermé les portes de son mercato.

L'un des deux a cependant été invité à rejoindre le groupe pro selon les informations de L'Équipe : Ulisses Garcia.

Un joueur qui n'a “pas fait de vagues

Le quotidien explique que l'international suisse va retrouver (ou plutôt découvrir) Roberto De Zerbi dans les “prochains jours” parce qu'il n'a “pas fait de vagues” et que le technicien italien n'a pas de vraie doublure à Quentin Merlin. À la différence de certains, Garcia dispose également d'un contrat portant sur plusieurs saisons. Selon L'Équipe, l'ex-défenseur des Young Boys de Berne serait apprécié par sa direction.

En revanche, la donne est bien différente pour Chancel Mbemba, avec qui les tensions sont vives depuis plusieurs semaines. Le média explique que “les positions semblent irrémédiablement figées“. L'international congolais, actuellement en sélection, ne devrait donc pas retrouver ses partenaires de la saison, mais plutôt évoluer avec la réserve pour sa dernière année de contrat. En interne, le comportement du joueur est pointé du doigt, comme cela avait pu être déjà le cas à Porto.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.