Mercato - PSG : une seule destination possible pour Milan Skriniar ?

Depuis mi-octobre, l'avenir de Milan Skriniar fait l'objet de différentes rumeurs. L'international slovaque n'entre plus dans les plans de Luis Enrique et le Paris Saint-Germain, ainsi que le défenseur, souhaitent mettre fin à leur aventure commune au mois de janvier.

Recruté pour occuper le poste de titulaire aux côtés de Marquinhos dans l'axe de la défense parisienne, Milan Skriniar n'est jamais parvenu à retrouver le niveau affiché durant ses meilleures années à l'Inter. Durant l'intersaison, soit un an seulement après son arrivée dans la capitale, il a été placé sur la liste des transferts. Pour autant, le joueur de 29 ans n'avait pas pu trouver une porte de sortie qui convenait à toutes les parties.

Trois mois et seulement deux titularisations plus tard, la donne n'a pas changé pour le Slovaque. Selon les dernières révélations de la Gazetta, la Juventus est sur le dossier, mais son arrivée sera difficile à boucler. Dans son édition du jour, L'Equipe a fait le point sur le dossier.

Le salaire de Skriniar, principal frein à son départ

Le quotidien confirme que le profil du défenseur plaît à la Juventus et que ce dernier verrait d'un bon œil un retour en Serie A, mais la Vieille Dame est dans l'incapacité de prendre en charge la totalité de son salaire. Un problème qui se pose pour la plupart des équipes intéressées par Milan Skriniar.

L'ancien Nerazzuri serait également suivi en Premier League, mais aussi en Arabie saoudite, l'un des rares endroits où ses émoluments ne poseraient pas problème. “L'Arabie saoudite, solution peu probable l'été dernier, n'est plus une piste à écarter“, écrit le journal.

Pour se séparer de son remplaçant, le PSG devra accepter de prendre en charge une partie du salaire ou pousser pour l'envoyer dans le Golfe. Outre Milan Skriniar, un autre défenseur pourrait quitter le club cet hiver : Yoram Zague. Un prêt du latéral droit est envisagé.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.