Coupe du monde des clubs : tirage difficile pour le PSG

Seul représentant français de la Coupe du monde des clubs 2025, le Paris Saint-Germain n'a pas été gâté par le tirage. Les hommes de Luis Enrique retrouveront notamment une écurie face à qui ils ont perdu en Ligue des Champions il y a quelques semaines.

Du 15 juin au 13 juillet 2025, la Coupe du monde des clubs “nouvelle version” se jouera aux États-Unis avec désormais 32 équipes en lice. Le format est identique à celui de l'ancienne formule de la Ligue des Champions avec huit poules de quatre équipes. Les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour les huitièmes de finale. Une petite différence notable malgré tout : la phase finale se jouera sur un seul match à élimination directe.

Ce jeudi soir, le tirage au sort a rendu son verdict et le moins que l'on puisse dire, c'est que le PSG n'a, une nouvelle fois, pas été épargné. Le champion de France en titre, présent dans le Chapeau 1, sera opposé à l'Atlético Madrid, au Botafogo de John Textor, récent vainqueur de la Copa Libertadores, et aux Seattle Sounders.

Pour rappel, les Colchoneros sont venus s'imposer au Parc des Princes début novembre en Ligue des Champions (1-2).

Le tirage au sort de la Coupe du monde des clubs 2025

  • Groupe A : Palmeiras, FC Porto, Al Ahly, Inter Miami
  • Groupe B : PSG, Atletico Madrid, Botafogo, Seattle Sounders
  • Groupe C : Bayern Munich, Auckland City FC, Boca Juniors, Benfica
  • Groupe D : Flamengo, Espérance Tunis, Chelsea, Club Léon
  • Groupe E : River Plate, Urawa Red Diamonds, CF Monterrey, Inter
  • Groupe F : Fluminense, Borussia Dortmund, Ulsan HD, Mamelodi Sundowns
  • Groupe G : Manchester City, Wydad Casablanca, Al Aïn, Juventus
  • Groupe H : Real Madrid, Al Hilal, CF Pachuca, RB Salzbourg
Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.