Mercato - OM : la grande priorité du mercato dévoilée

À l'approche de l'ouverture du marché des transferts, les dirigeants de l'Olympique de Marseille affinent leurs besoins pour renforcer l'effectif de Roberto De Zerbi. Deux profils, dont un érigé en priorité, auraient été identifiés par l'écurie phocéenne.

Assuré de boucler l'année 2024 à la deuxième place du championnat après la défaite de l'AS Monaco face au Paris Saint-Germain mercredi soir en Ligue 1 (2-4), l'OM version Roberto De Zerbi a réussi sa première moitié de saison. Quelques retouches pourraient cependant être apportées au mois de janvier, comme l'expliquait Pablo Longoria, qui a notamment donné deux bons de sortie pour cet hiver à Bamo Meïté et Chancel Mbemba.

Tu dois toujours profiter des opportunités au mercato. On est dans une dynamique positive et nous ne voulons pas changer l'équilibre de l'effectif de ces dernières semaines“, expliquait-il mercredi matin.

Le club olympien ne devrait donc pas faire de folies, mais simplement tenter de gommer quelques carences au sein de l'effectif.

Enfin un successeur à Jonathan Clauss

D'après les éléments recueillis par La Provence, la priorité du mois de janvier serait de combler le vide laissé par le départ de Jonathan Clauss, qui n'a pas pu être compensé durant l'intersaison. Ainsi, l'OM s'est mis en quête d'un latéral droit, mais pour l'instant, aucun nom n'a filtré.

En parallèle, Pablo Longoria et Mehdi Benatia auraient également dans l'idée de s'attacher les services d'un axial gauche qui prendrait donc place au sein de la défense à trois, mise en place depuis quelques rencontres par De Zerbi. Le quotidien régional ne précise pas si les Phocéens recherchent un potentiel titulaire ou seulement un joueur de rotation.

Le secteur offensif, en revanche, ne devrait quasiment pas bouger, hormis si le club reçoit une offre satisfaisante pour Amine Harit. Le président de Montpellier, Laurent Nicollin a demandé une faveur pour recruter Elye Wahi, mais l'OM va très certainement conserver son attaquant.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.