Mercato - L’OM met les barbelés pour un cadre de Roberto De Zerbi

Après Elye Wahi, d'autres éléments de l'Olympique de Marseille pourraient quitter le club avant le 3 février prochain. Pour autant, les dirigeants phocéens n'ont pas prévu d'affaiblir l'effectif et aucun joueur important ne sera cédé au cours du mois de janvier.

Particulièrement actif cet été pour offrir à Roberto De Zerbi un effectif à la hauteur de ses ambitions, l'OM a prévu d'être plus calme durant ce mercato d'hiver. Le départ d'Elye Wahi, qui va rapporter plus de 25 M€ au club, a cependant rebattu un peu les cartes et pourrait pousser les dirigeants marseillais à dégainer pour un numéro 9 dans les dix prochains jours. Dans cette optique, l'OM pourrait avoir finalement une ouverture avec Mathys Tel, en manque de temps de jeu au Bayern Munich.

En parallèle, les Provençaux sont ouverts à la vente de certains joueurs qui n'entrent pas vraiment dans les plans du coach italien. On pense évidemment à Lilian Brassier, mais également à Amine Harit, qui dispose enfin d'une porte de sortie en Grèce, où l'Olympiacos songerait à la recruter. En revanche, la porte est fermée pour d'autres.

L'AS Rome en pince pour Leonardo Balerdi

C'est le cas avec Leonardo Balerdi. Malgré une campagne pour l'instant moins réussie que la précédente, l'international argentin garde la confiance de ses dirigeants, qui l'ont nommé capitaine en début de saison. Selon les éléments recueillis par Il Messaggero, l'AS Roma s'intéresse à l'ancien du Borussia Dortmund, mais ne devrait pas parvenir à ses fins.

Malgré de bonnes relations entre les deux écuries, l'OM n'envisage pas de se séparer de son leader de défense cet hiver et compte sur lui pour le futur. “Leo est un défenseur au potentiel énorme, il est rapide, technique, il a tout pour jouer dans un top club européen” expliquait justement un membre du club dans les colonnes de L'Équipe ce vendredi.

Un départ n'est donc pas d'actualité.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.