Mercato - OM : un club de Ligue 1 en pole pour Lilian Brassier !

Après une nouvelle prestation catastrophique sur la pelouse de l'OGC Nice dimanche soir en clôture de la 19ème journée de Ligue 1 (2-0), Lilian Brassier est plus que jamais sur le départ. Un club de Ligue 1 serait en pole pour l'accueillir.

Recruté cet été pour 11,5 M€ en provenance du Stade Brestois, Lilian Brassier avait très mal commencé son aventure olympienne, mais s'est vu offrir une seconde chance de prouver sa valeur sous la tunique olympienne. Titulaire face à Strasbourg, où il a livré une copie tout à fait correcte, le défenseur était également aligné à Nice, mais il s'est rendu coupable de plusieurs erreurs qui ont coûté très cher à l'OM. De quoi conforter l'idée de ses dirigeants et de son entraîneur qu'il n'est pas fait pour le contexte marseillais.

Plusieurs écuries étrangères se sont renseignées sur son cas depuis le début du mois de janvier, mais c'est bel et bien en Ligue 1 que le natif d'Argenteuil pourrait rebondir.

Discussions à trois

D'après le journaliste de RMC Fabrice Hawkins, le Stade Rennais est en pole pour récupérer Lilian Brassier. Pourtant, Jorge Sampaoli n'est, a priori, pas fan de son profil. Le journaliste explique que “les dirigeants de l’OM et de Brest ont bien avancé pour trouver une solution afin que Lilian Brassier quitte Marseille” et que les deux clubs discutent désormais avec Rennes en vue d'un transfert avant le 3 février prochain.

Pour l'instant, aucun montant n'est évoqué, mais les dirigeants marseillais souhaitent se séparer définitivement de leur joueur. On imagine cependant qu'il sera difficile de récupérer la mise initiale, bien que Lilian Brassier reste évalué à 10 M€ selon Transfermarkt. Même si le joueur, de son côté, ne s'est pas exprimé au sujet d'un éventuel départ, il ne devrait pas être contre un changement d'air.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.