Alors que le déménagement évoqué du PSG au Stade de France est loin de faire l'unanimité au sein des supporters, Michel Denisot s'est de son côté dit ouvert à cette possibilité. Sur Europe 1, l'ancien boss des Rouges et Bleus a en effet expliqué que cette page de l'histoire du club de la capitale pouvait “se tourner”.
Le PSG déménagera-t-il un jour au Stade de France ? Alors que le Parc des Princes et ses 48 000 sièges semble parfois trop étroit pour accueillir tout le monde, la question d'un nouveau stade fait débat depuis plusieurs mois. En conflit avec la Mairie de Paris, le club de la capitale pourrait donc faire le choix de s'installer à Saint Denis.
Avec 80 000 places, l'enceinte crée pour la Coupe du monde 1998 a au moins l'avantage de la taille. Mais cet exil en banlieue parisienne est très loin d'enchanter tout le monde. De nombreux amoureux du PSG ne sont en effet pas prêts à quitter l'enceinte mythique de la capitale pour rejoindre un stade réputé pour son manque d'ambiance.
Michel Denisot ouvre la porte au Stade de France
Ce n'est en revanche pas l'avis de Michel Denisot qui fut président du Paris Saint-Germain entre 1991 et 1998. Répondant aux questions d'Europe 1, l'ex vedette de Canal + ne s'est pas montré hostile à ce déménagement.
🏟️Le PSG loin du Parc?
🗣@michel_denisot: "Je n'ai pas d'avis. Mais c'est vrai qu'au Parc, je ressens quelque chose de particulier. Les choses reviennent en tête, les sensations, le plaisir. Mais la page peut se tourner, ça ne me choquerait pas"pic.twitter.com/vmt20mYzcP
— Paris_SGINFOS (@Paris_SGINFOS) April 17, 2023
“Je n'ai pas d'avis tranché mais quand je vais au Parc je ressens quelque chose de particulier. Il y a beaucoup de souvenirs qui reviennent en mémoire, de sensations, de plaisir de se retrouver là-bas parce qu'on a vécu de grands moments. Mais après la page peut se tourner, ça ne me choque pas personnellement” a ainsi expliqué Michel Denisot avant d'ajouter : “Quand on regarde les matchs à la télé, ça n’a aucune importance. Quand on voyait les matchs au Qatar, on ne se posait pas la question d'où ça se passait. Une fois qu’on est dans le stade, c’est comme les circuits de Formule 1”.
