PSG : nouvelles peu rassurantes pour Rico

Victime d'un grave accident de cheval, Sergio Rico est hospitalisé à Séville depuis le 28 mai dernier. Ce lundi, ses proches ont fait un point sur l'état de santé du portier du PSG.

Rentré en Andalousie pour effectuer un pèlerinage, Sergio Rico a subi un très grave accident après avoir fait une chute de cheval, le plongeant dans le coma dans un état grave. L'inquiétude est de mise.

Depuis, l'Espagnol a reçu une grosse vague de soutiens, notamment de ses coéquipiers, et plus particulièrement de la part de Kylian Mbappé après la réception de Clermont ce samedi : “Le plus important, c'était quand même l'hommage à Sergio, expliquait le champion du monde 2018. Il y a plus important que le football. Il fallait vraiment qu'on rende hommage à Sergio. On est tous touchés, ça nous a préoccupé toute la semaine. On voulait lui rendre hommage du mieux qu'on pouvait. Il faut prier, on remercie les gens au stade, mais aussi ceux qui ont soutenu à leur manière Sergio et sa famille, le Parc a été incroyable. On va prier et envoyer le maximum d'ondes positives pour qu'il sorte de cette situation.

“Son état général reste grave”

Une semaine après son accident, les nouvelles apportées par ses proches ne sont pas vraiment rassurantes. Si son état reste stable, il n'en demeure pas moins grave : “Sergio Rico reste stable sans changement significatif à signaler. Son état général reste grave. Il reste admis aux soins intensifs de l’hôpital universitaire Virgen del Rocio de Séville sous sédation, suivi et soigné de manière multidisciplinaire par l’équipe de médecine intensive et par d’autres spécialistes“, peut-on lire dans un communiqué.

Recruté au Paris Saint-Germain lors du mercato estival 2020 en provenance du FC Séville, Sergio Rico n'a pas beaucoup joué avec le club francilien depuis son arrivée. Au total, il a disputé 24 rencontres, toutes compétitions confondues, dont la dernière remonte à avril 2021 en Coupe de France.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.