Mercato - OM : ça bouge pour Sanchez

La prolongation d’Alexis Sanchez est une priorité pour l’Olympique de Marseille. Les dirigeants travaillent d’arrache-pied pour tenter de convaincre le Chilien de poursuivre l’aventure dans la cité phocéenne.

De loin le meilleur joueur de l’Olympique de Marseille la saison dernière, Alexis Sanchez (18 buts et 3 passes décisives en 44 matchs toutes compétitions confondues) se retrouve déjà sans contrat, un an seulement après avoir rejoint l’OM en provenance de l’Inter Milan. Si le joueur a expliqué à plusieurs reprises se sentir bien au club, rien n’a encore été signé pour l’instant.

Il y a quelques semaines, Pablo Longoria avait donné quelques précisions sur le dossier : “On veut le conserver, car il nous a beaucoup apporté. Alexis a été un leader exemplaire et a fait une excellente saison sur le plan des statistiques. Cela nous pousse à lui proposer de continuer avec nous. Il a été un leader sur tous les plans. On discute avec son agent. Nous lui proposons un meilleur contrat que celui qu'il avait cette saison. Ici, il a trouvé une ambiance où s'est senti aimé et respecté“, avait relaté le président phocéen en conférence de presse.

Les discussions avancent entre Sanchez et l’OM

Ce mardi soir, nos confrères de L’Équipe annoncent que les discussions vont dans le bon sens entre le joueur et le club phocéen, expliquant que les deux parties échangent quotidiennement. D’après les informations du média, l’OM est “prudent” dans ce dossier, mais reste “confiant” quant à la possibilité de voir Sanchez rempiler la saison prochaine.

Pour rappel, l’ancien joueur d’Arsenal et du FC Barcelone a fait l’objet d’une offre venue d’Arabie Saoudite. Une proposition qui ne tente pas l’attaquant de 34 ans, qui souhaiterait rester en Europe. Avec l’arrivée de Marcelino, un adepte du 4-4-2, Sanchez pourra enfin évoluer dans un système à deux attaquants axiaux, lui qui s’est ouvertement plaint d’être trop esseulé dans le 3-4-2-1 mis en place par Igor Tudor la saison dernière.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.