Après avoir accueilli Ismaïla Sarr, Iliman Ndiaye ou encore Pierre-Emerick Aubameyang, l’heure est désormais au dégraissage au sein du secteur offensif de l’Olympique de Marseille.
Dimitri Payet a ainsi résilié son contrat d’un commun accord au mois de juillet et l’ailier Cengiz Ünder devrait être le prochain sur la liste. Le Turc se dirige en effet vers un retour au pays, plus précisément à Fenerbahçe, dans le cadre d’un transfert compris entre 12 et 13 millions d'euros. Et les départs ne devraient pas s’arrêter là puisque Ruslan Malinovskyi se rapproche lui aussi de la sortie.
Recruté seulement l’hiver dernier pour 10 millions d'euros en provenance de l’Atalanta Bergame, l’international ukrainien suscitait beaucoup d’attentes, auxquelles il n’est pas parvenu à répondre. Dès lors, la porte est ouverte à un départ au sein d’un secteur offensif désormais encombré et dans lequel l’attend un simple rôle de remplaçant. Deux clubs se sont récemment positionnés sur le milieu offensif : Besiktas et le Torino.
Malinovskyi a fait son choix
Comme nous vous l’indiquions un peu plus tôt, le club stambouliote proposerait un prêt payant de 1,5 million d'euros, avec une option d'achat autour de 7 millions d'euros. De son côté, le Torino, qui aurait les faveurs du principal intéressé, a décidé d’accélérer dans ce dossier qu’il ambitionnerait de boucler sous 48 heures, affirme le journaliste de DAZN, Orazio Accomando ce dimanche.
🔄 Les discussions se sont accélérées entre l’OM et le Torino pour Ruslan Malinovskyi.
Les négociations se poursuivent autour d’un prêt avec option d’achat de 10M€. (FM) #TeamOM pic.twitter.com/OkLJWU1TJM— Guillaume Tarpi (@GuillaumeTarpi) August 6, 2023
Et visiblement les Italiens ont opté pour une formule du même genre que les Turcs. Le site Foot Mercato révèle ainsi que les Granata ont proposé un prêt avec une option d’achat fixée à 10 millions d’euros. Il s’agit d’un montant intéressant qui permettrait à l’OM de récupérer éventuellement sa mise initiale même si, comme on le sait dans ce genre de deal, tout dépendra certainement des conditions négociées pour l’option d’achat, la rendant plus ou moins obligatoires. Peut-être nostalgique de ses années italiennes à la Dea (2019-2022), Malinovskyi aurait en tout cas donné son feu vert pour rejoindre Turin.
